Élue comme conseillère générale à Hauterive dès 1975, puis à Neuchâtel de 1984 à 1992, elle préside le Conseil général de cette ville de 1989 à 1990.
De 1992 à 1997, elle a siégé comme première femme au Conseil communal de la ville de Neuchâtel[2], dont elle a dirigé les finances. Elle a été présidente de la ville de 1996 à 1997.
Première femme élue au Conseil d'État neuchâtelois[3], elle y a siégé de 1997 à 2005[2]. D’abord pressentie pour reprendre la tête du département de l’Économie publique que quittait son collègue de parti Pierre Dubois[4], elle se retrouve, en raison de luttes partisanes l’opposant notamment au radicalThierry Béguin et à cause de la règle d’ancienneté qui préside le choix des dicastères[5], responsable du département de la Justice, de la Santé et de la Sécurité[6]. Elle est à l’origine de lois telles que la Loi sur la lutte contre la violence au sein du couple[7] ou le PACS neuchâtelois[8]. Elle a présidé le Conseil d’État de 2001 à 2002[9].
Depuis , elle préside l’Alliance suisse des samaritains[10]. Monika Dusong a été réélue deux fois pour quatre ans à la présidence de cette organisation[11].
En , Monika Dusong a été élue membre du Conseil de la Croix-Rouge suisse (CRS) puis, réélue, elle a été nommée vice-présidente de la CRS[12].
De 2006 à 2014, elle a présidé la Fédération romande des consommateurs (FRC)[13],[14].