Schwitters a également utilisé le magazine pour promouvoir davantage sa poésie, qui s'était développée après 1921 à partir de parodies ou de paroles sentimentales expressionnistes comme An Anna Blume à la poésie sonore abstraite. En 1932, il publie son poème phonétique Ursonate (1921-1932), dans un numéro spécial de vingt-neuf pages de Merz qui sera le dernier numéro paru.
Le premier numéro de la revue — qui paraissait irrégulièrement — est sorti en et le dernier, le n° 24, en 1932. Trois numéros, les n° 10, 22 et 23, quoique préparés, n'ont jamais paru.
Les numéros 3 et 5 sont des portfolios, le n° 3 contient six lithographies de Schwitters et le n° 5 en contient sept de Jean Arp. Le n° 13 consiste en un disque. Les numéros 12, 14-15 et 16-17 sont des livres pour enfants.
Le n° 18-19 contient un texte de Ludwig Hilberseimer.