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Son père était un architecte japonais et un grand admirateur de Jorge Luis Borges. L'écrivain donnait à Buenos Aires des cours privés d'anglais : c'est ainsi qu'elle fit la connaissance de celui dont elle devint l'assistante en 1975, à la mort de la mère de Borges, puis l'épouse le . Elle l'aida à écrire Breve antología anglosajona (1978), Atlas (1984), l'un des fruits parmi beaucoup d'autres des voyages du couple autour du monde, et à traduire l'Edda de Snorri en castillan.
María Kodama, héritière universelle de Borges[2], fut la présidente de la Fundación Internacional Jorge Luis Borges, qui a son siège à Buenos Aires. En 2008, elle promut un processus de création d'un musée consacré à Borges[3].
À sa mort, aucun document relatif à sa succession n'a été retrouvé, ce qui laisse planer un doute sur l'avenir du patrimoine littéraire de Borges[4].
↑María Kodama, « Une vie merveilleuse avec Borges », Le Soleil, un article de Didier Fessou (interviewer), (lire en ligne)
↑Odile Tremblay, « La bibliothèque de Borges, Rencontre [à Buenos Aires] avec María Kodama, veuve du célèbre écrivain argentin », Le Devoir, (lire en ligne)
↑« Jorge Luis Borges, confusion autour d’un héritage », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )