À la fin des années 1920, comme son frère Pierre, elle fréquente le Cercle international de jeunesse, où elle rencontre d'autres jeunes de tous milieux et de toutes nationalités, et dont elle devient secrétaire[1].
« Madame Norgeu est la belle-mère de ma sœur. Avec sa fille elle fait tourner, à Belleville, la petite imprimerie qu'avait crée son mari. Elles ont accepté d'imprimer le journal Libération-nord quand je leur ai demandé...[8] »
Bibliographie
Alya Aglan, La Résistance sacrifiée. Le mouvement Libération-Nord, Flammarion, Paris, 1999
Alya Aglan, Jean-Pierre Azémaet al., Jean Cavaillès résistant ou la Pensée en actes, Flammarion, Paris, 2002
Claude Bellanger, Presse clandestine 1940-1944, Armand Colin, 1961
Henri Noguères, Marcel Degliame-Fouché, Jean Louis Vigier,Histoire de la Résistance en France, de 1940 à 1945, Vol. 2 ,p. 661, ed. R. Laffont, 1967
Laurence Thibault, Imprimeurs et éditeurs dans la Résistance, Éd. Documentation française, 2010 (ISBN2-11007-136-2)
↑Jean Cavaillès résistant, ou, La pensée en actes: Spécialiste en imageries religieuses [2].
↑Anne Thoraval,Paris, les lieux de la Résistance: La vie quotidienne de l'armée des ombres dans la capitale, p. 203, ed. Parigramme, 2007 (ISBN2-84096-431-7).