Marie Le Drian est née le à Lanester (Morbihan). Elle fait ses études à Rennes, où elle devient ingénieure d'études en sociologie au CNRS (en 1992)[1]. Puis elle travaille à Paris durant plusieurs années. Elle publie son premier récit « Keraliguen » en 1983. Suivront des nouvelles et des romans dont « Le Petit Bout du L » et « Hôtel maternel ». En 1999, elle obtient une bourse du Canton de Berne (Suisse) et passe une année dans la ville bilingue de Bienne. Année durant laquelle elle écrit « La Cabane d’Hippolyte ». À son retour en France, elle quitte Paris et s’installe définitivement en Bretagne, à Clohars-Carnoët (Finistère) où elle se consacre à l’écriture[2]. En 2003, elle publie « Ça ne peut plus durer » (prix du roman de la Ville de Carhaix), aux éditions du Chemin de fer, en 2006, « On a marché sur la tête », en 2007, « Attention éclaircie » (Éditions de la Table Ronde)[3]. En 2013, elle publie « Le Corps perdu de Suzanne Thover » aux Éditions Apogée.
Marie Le Drian (ill. Claude Huart), Marie poupée (récit), éd. Kerguelen, , 1re éd., 153 p. (présentation en ligne)
Marie Le Drian (ill. Claude Huart), Marie Henry, Gauguin et les autres (nouveau titre) (récit), éd. Blanc Silex, , 2e éd., 109 p. (ISBN978-2-913969-88-9, présentation en ligne)
Marie Le Drian (ill. Claude Huart), Marie Henry, Gauguin et les autres (nouveau titre) (récit), Rennes, éd. La Part commune, , 3e éd., 125 p. (ISBN978-2-84418-241-8)
Traduit en italien par Simona Mambrini sous le nom Possibili schiarite éd. Voland
Yvon le Bras et Marie Le Drian, L'Apocalypse selon Jean Renault : journal d'atelier et genèse d'un cycle (Yvon le Bras) suivi de Viens et vois (Marie Le Drian), Spézet, éd. Coop Breizh, , 128 p. (ISBN978-2-84346-443-0)