Léon Guérin commence sa carrière littéraire comme écrivain tantôt sous son nom, tantôt sous celui de Guérin-Dulion ou Léonide de Mirbel. Auteur de contes et de nouvelles, et poète - il publie dans sa jeunesse des Chants lyriques et autres essais poétiques (Éditions Garnier, 1829). Léon Guérin se lance dans le journalisme, il fonde le Journal des enfants, puis de La Gazette des enfants et des jeunes personnes, avant de se spécialiser dans l'Histoire[2].
Il est nommé historiographe du musée de la marine en 1846[1]. À ce titre, il est nommé chevalier de la légion d'honneur le 9 février 1846.