Lionel Fleury, né le , ex-président de l'AFP, a été élu le directeur de l'École de journalisme et de communication de Marseille[1]. Il enseigne actuellement à Sciences Po Aix-en-Provence pour les élèves du master 1 information-communication.
Il intègre ensuite l'ENA (promotion Michel de l’Hospital), dont il sort administrateur civil, en poste au ministère de l’Éducation en , puis à la direction générale des télécommunications comme adjoint au chef du projet Télécom 1 à la direction des affaires industrielles internationales le mois suivant. En , il entre à la société France Câbles et Radio comme directeur commercial du programme Télécom 1.
Directeur général adjoint de l'AFP entre 1990 et 1993, il est nommé président de l'agence de presse en [2]. Il poursuit alors la politique de développement international et de maîtrise des coûts souhaitée par son équipier et prédécesseur Claude Moisy.
En , il est écarté par le gouvernement et les administrateurs représentant la presse nationale, qui installent à la tête de l'AFP l'un des leurs, Jean Miot[3], Homme de réseaux, aussi bien médiatiques que politiques, et jusque-là administrateur du groupe Hersant.
Il est ensuite chargé de mission chez Alcatel, 1998 à 2000[4], puis directeur des systèmes d'information du Groupe Hachette Filipacchi Médias, 2000 à 2003[5].