Jusqu'en 1860, le nom officiel était en italien : Lantosca.
Géographie
Localisation
La commune de Lantosque est située dans la partie centrale de la vallée de la Vésubie. La Vésubie est une des cinq vallées principales des Alpes-Maritimes, creusées par l'érosion de la fonte des glaciers alpins pendant plusieurs centaines de milliers d'années.
L'altitude varie d'environ 300 mètres (plaine du Suquet) à 1 900 mètres (granges de la Brasque).
Géologie et relief
Le village a été édifié au bord de la rivière sur un agglomérat de sédiments amassés contre un verrou glaciaire, dont l'instabilité chronique a provoqué des mouvements de terrains, causant des dégâts à nombre d'habitations.
La commune comporte plusieurs hameaux comme Pélasque, Loda, Camari, Saint-Colomban, ainsi que des quartiers sur les hauteurs : les Clapières, la Vilette, les Tabalons, les Brucs, les Quinsons, le Seuil, le Terron, Saint-Georges, Campaouri, la Serisière entre autres.
Le quartier de Saint-Georges a historiquement été considéré comme une partie de Pélasque et comme une limite avec Lantosque, mais cela tend à disparaître avec l'installation massive de nouveaux habitants.
Catastrophes naturelles - Sismicité
Le 2 octobre 2020, de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, St-Martin-Vésubie, Tende...) sont fortement impactés par un "épisode méditerranéen" de grande ampleur[1]. Certains hameaux sont restés inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le 20 octobre. L'Arrêté du 7 octobre 2020 portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié 55 communes, dont Lantosque, au titre des "Inondations et coulées de boue du 2 au 3 octobre 2020"[2].
Commune située dans une zone de sismicité moyenne[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 940 mm, avec 5,7 jours de précipitations en janvier et 5,1 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 959,3 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −9 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].
Statistiques 1991-2020 et records LANTOSQUE_SAPC (06) - alt : 550m, lat : 43°58'19"N, lon : 7°18'25"E Records établis sur la période du 01-12-2006 au 04-01-2024
La légende attribue la fondation de Lantosque à un guerrier étrusque, ou plutôt osque. À une époque qu’on ne peut préciser, celui-ci aurait envahi le pays à la tête d’une bande d’aventuriers. Il s’y serait installé malgré la résistance des peuplades ligures qui l’habitaient. Après les avoir vaincues sur le plateau du « Camp d’Aule » il aurait planté sa lance sur le lieu du combat en signe de prise de possession et il y aurait bâti un village qui, en mémoire de ce fait, prit le nom de « Lancia d’osca », puis de « Lan d’osca » et de « Lantosca ».
Il s'agit d'une légende. Plus sérieusement et selon les auteurs, Lantosque viendrait de « Lan », racine celtique signifiant : endroit consacré au village à laquelle s'ajoute le suffixe ligure « usca » que l'on trouve ailleurs en ascu, oscq, ascq. Ou bien il s'agirait d'une racine d'origine ligure « Osc » ou « Asc » indiquant une hauteur.
Cette cité se serait dressée au-dessous d’un petit lac où le torrent du « Riol » prenait sa source. À la suite d’un tremblement de terre le lit du lac s’entrouvrit, produisant d’énormes éboulements. La bourgade osque primitive fut détruite et ses habitants s’installèrent sur un rocher de la rive droite.
Lantosque était au Moyen Âge, le village le plus important de la vallée et la capitale de la Vésubie, qui portait alors son nom. Il était un fief de la famille des Tournefort, Pierre de Tournefort en a été investi le . Le fief tombé en déshérence est racheté comme beaucoup d’autres par Jean Ribotti le , qui le revend à Lazare Riccardi d’Oneglia le , vente confirmée par le Roi le suivant qui lui octroie le titre de comte de Lantosque.
Histoire
Lantosque compte actuellement 1 231 habitants. En 1848, la commune en avait 2 573. Quatre hameaux : Saint-Colomban, Loda, Camari et Pélasque, groupent avec le bourg la population lantosquoise. Saint-Colomban (à rapprocher de Sanctus Colombanus) est créé au début du VIIe siècle. Après les invasions sarrasines (IXe – Xe siècles) le pouvoir des comtes de Provence s'établit sur la vallée, et le château de Loda est détruit par Romée de Villeneuve. Au IXe siècle, Charlemagne donne le fief à l’abbaye de Saint-Pons.
Lantosque voit naître au début du XIIIe siècle deux confréries de pénitents[15] qui dureront jusqu'au XXe siècle. La plus importante fut celle des pénitents noirs dont le siège était la chapelle actuellement en face de la mairie, mais les pénitents blancs « archicon fraternita didisciplinanti del presenze luogo di lantusca » seront très agissants. Lantosque s'administre en vraie république, son autonomie a été concédée par les comtes de Provence. Chaque année, les hommes élisent le Baylo, chef de la commune assisté des Sindici et des Consiglieri, des Arbitri, Abbati, etc.
Les notabilités de la commune forment le conseil mineur qui désigne les hommes de troupe demandés par les ducs de Savoie en cas de besoin et les députés chargés de s'entretenir avec les fonctionnaires sardes. Le commerce du sel par Levens, Utelle, Lantosque et le col de Fenestre vers le Piémont est florissant et Lantosque profite du passage des caravanes de mulets.
En 1271, la seigneurie est inféodée aux Tournefort qui relèvent le château. À partir du XIVe siècle, la communauté s’est étendue sur toute la crête, en dehors des limites du castrum médiéval.
En 1388, le val de Lantosque est une des vigueries du comté de Nice qui devient savoyarde.
En 1518, c’est André de Tournefort qui est investi du fief ; ses descendants vont le conserver jusqu’en 1699, date de son rachat par Jean Ribotti. En 1701, ce dernier le revend à Lazare Riccardi d’Oneille (actuelle Imperia). Peu après, Victor Amédée II de Savoie confère à ce feudataire le titre de comte. En 1542, pendant la guerre que se livrèrent le duc de Savoie, Charles III et le roi de France, François Ier, le village fut incendié par le seigneur d’Ascros. Il subit de nombreux tremblements de terre aux XVe, XVIe et XVIIe siècles.
Le , un « horrible tremblement de terre »[16] bouleverse les villages de Roquebillière et de Lantosque. Le , un tremblement de terre détruit totalement Loda et quelques maisons à Lantosque. Le , un tremblement de terre détruit le village et l'église. Emmanuel Philibert fera remise des impôts à la population durement éprouvée.
En 1621, les pénitents blancs créent un hôpital afin de recueillir les nombreux pauvres du village et les passants démunis. En 1630, épidémie de peste. En 1668, consécration de l'église Saint-Sulpice. En 1698, création, vraisemblablement par les pénitents blancs d'un " monte granatico " qui va fonctionner à Saint-Colomban. C'est une sorte de mont-de-piété du grain. Son but est de prêter aux paysans qui n'en ont plus, du blé, du seigle, de l'orge, avec lors de la restitution, la prise d'un petit intérêt en poids de grain. À noter que les vins de Lantosque sont très appréciés par toute la vallée.
En 1705, le village est pillé par la soldatesque de Louis XIV avec une nouvelle occupation en 1707 jusqu'en 1713. Pendant la guerre de Succession d'Autriche où la France et l'Espagne sont opposées à l'Autriche et la Savoie, les troupes franco-espagnoles occupent en 1744 et 1747 le comté, Lantosque n'échappe pas à cette occupation. En 1792–1793 sous la Révolution en sous l'Empire, les troupes françaises seront à nouveau à Lantosque où la lutte contre les Barbets sera chaude.
Le général Garnier note qu'il existe à l'époque, deux voies de communication, de Lantosque à Nice, l'une par la vallée de l'Infernet-Lucéram-l'Escarène-Drap, l'autre par le Figaret, le pont de Saint-Jean, Duranus, Levens, Aspremont. Il faut à cheval onze heures par la première et douze par la seconde pour relier Nice à Lantosque. On va également à Saorge, toujours à cheval en cinq heures par le col de Raus, en deux heures à Moulinet et en trois heures au col de Fenestre.
Dès 1860, date de l'annexion du comté de Nice à la France, le quartier du Rivet connaît une grande activité. Là se trouvaient le relais des diligences avec les écuries, les entrepôts de fourrage, de paille et les hôtels « de la poste » et « Raibaut-Andréani ». La gendarmerie siégeait également au Rivet. Son déclin date de la construction de la ligne de tramways qui desservit la Vésubie de 1909 à 1928. La première véritable route passant par Levens et Duranus atteint Lantosque en 1863[17]. En 1894 sera ouverte la route entre Saint-Jean-La-Rivière et Plan-Du-Var. De 1920 à 1940, la présence de la troupe dans la commune, avec la construction de casernes militaires sera la cause d'une relative prospérité du village. Ces casernes furent aussi utilisées comme Quartier Général en pour le 74e BAF(Bataillon Alpin de Forteresse). À ce jour, elles ne sont plus utilisées par l’armée française.
Actuellement le village connaît un regain de populations venues du littoral.
En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[18] :
total des produits de fonctionnement : 1 086 000 €, soit 821 € par habitant ;
total des charges de fonctionnement : 899 000 €, soit 679 € par habitant ;
total des ressources d'investissement : 939 000 €, soit 710 € par habitant ;
total des emplois d'investissement : 906 000 €, soit 685 € par habitant ;
endettement : 2 335 000 €, soit 1 765 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
taxe d'habitation : 9,49 % ;
taxe foncière sur les propriétés bâties : 7,56 % ;
taxe foncière sur les propriétés non bâties : 30,26 % ;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 18 710 €[19].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1751. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].
En 2021, la commune comptait 1 200 habitants[Note 2], en évolution de −8,68 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
L'urbanisme de la commune relevait du Règlement national d'urbanisme[28], et est maintenant couvert par le PLUm de l'intercommunalité Métropole Nice Côte d'Azur[29].
Typologie
Au , Lantosque est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[30].
Elle est située hors unité urbaine[31]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[31]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[32],[33].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (95,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (61,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,7 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5,1 %), cultures permanentes (2,8 %), mines, décharges et chantiers (0,6 %), prairies (0,2 %)[34].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Économie
Entreprises et commerces
Agriculture
Lantosque est réputée pour ses châtaignes et chaque année une fête leur est consacrée.
Le village a conservé une politique traditionnelle d'élevage de bovins et d'ovins sur les hauteurs du village, ainsi que les traditionnelles transhumances estivales. Les éleveurs produisent du fromage de montagne. On y produit encore du plâtre en petites quantités.
Tourisme
Camping.
restaurants, hôtels, bars,
Commerces et services
Banque-Postale, service postal, Gendarmerie Nationale, pompiers, services à la personne, boucheries, épicerie, fleuriste, coiffure, plomberie...
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Tout d'abord, l'architecture sacrée est très présente dans le village et ses environs. Ainsi on y trouve une dizaine de chapelles et une majestueuse église, l'église Saint-Pons[35], trônant au sommet du village[36]. Cette église de 1668, mélange de plusieurs styles (portail de style classique, porte sculptée, plan cruciforme unique dans la vallée de la Vésubie) présente une architecture spécifique (façade relativement basse, large et trapue…) qui a été conçue pour résister aux secousses des tremblements de terre. Elle présente des traces d'un bâtiment plus ancien. À l'intérieur, on peut admirer des représentations du XVIIe siècle (Saint Antoine de Padoue recevant l’enfant et la Glorification du Saint Sacrement), un tableau représentant la Vierge de Miséricorde, un autel du Rosaire datant du XVIIIe siècle, sa frise de tableautin qui retrace les quinze mystères de la vie du Christ, l'autel Saint-Pons (patron de Lantosque) et celui de saint Sulpice dont les reliques données à Lantosque par le Pape lui-même sont le signe de l'influence et du pouvoir des élites locales de l'époque.
D'autres monuments montrent l'omniprésence de l'Église à Lantosque et ses environs au XVIIe siècle, tels que :
De plus le village regorge de références historiques et culturelles. Ainsi en témoignent les loggias du XVIIIe siècle la fontaine de la place de la mairie (1886), le monument aux morts (devant l'église Saint-Pons) qui évoque les massacres de la Première Guerre mondiale, le fort de Gordolon (vestige de la Ligne Maginot faisant partie des lignes de défenses passant par les communes de Lantosque et Roquebillière), ou encore le sanctuaire de Notre-Dame-de-la-Balma en aval du village (seul exemple de grotte sanctuaire de la Vésubie qui accueillait tous les ans une procession des pénitents blancs suivie par toute la population).
Plus récent, le pont du Martinet dont le nom vient d'un ancien moulin situé en rive droite, où, tisserand, forgerons, serruriers exerçaient des activités artisanales utilisant l'énergie hydraulique. Ce pont permit le passage du train en premier lieu, puis celui du tramway jusqu'en 1926. Il fut reconstruit en 1932 et 1999.
D'autres ponts tel que le pont muletier, enjambant le Riou et ses gorges, étaient le lieu de passage du trafic nord-sud.
En remontant le Riou on peut apercevoir un ancien moulin à eau qui servait à moudre le grain.
Actuellement la salle polyvalente accueille de nombreuses manifestations et activités culturelles (cinéma, chorale, expositions…) ou sportives (danse, gymnastique, judo, step, yoga…). Elle est équipée d’un matériel très moderne, et peut recevoir plus de 500 personnes pour des conférences ou des congrès.
Dans un tous autre registre la laune de l'éléphant ou la Via ferrata des Canyons de Lantosque[62] sont des lieux de rendez vous appréciés des touristes comme des habitants.
Monument aux morts
Le monument aux morts[63],[64],[65] : Liste les morts des deux guerres mondiales et des guerres d’Indochine et d’Algérie.
La Lantosquoise
Dominant la Vésubie À cheval sur son rocher, C’est Lantosque la jolie Qui dresse son fier clocher
Refrain : Aimons bien ce vieux village, Doux pays de nos amours, Répétons à tous les âges : Lantosquois, Lantosquois toujours.
À ses pieds le torrent gronde, Et serpente entre les prés, Dans ce joli coin du monde Lantosquois, nous sommes nés.
Voici notre vieille église Témoin de notre passé, Vieilles rues et maisons grises Du Pivol, de Saint André
Au berceau de notre enfance Qui a vu nos premiers jeux, Nous gardons tous, l’espérance De finir des jours heureux.
Au déclin de notre vie, Attendons le dernier jour Dans la petite patrie Qui nous donné le jour.
Refrain : O Lantousca, bel villagé A tu pènsa cada giou, E cantan, plèns dé couragé : Lantousquiès, Lantousquiès, tougiou.
Héraldique
Blason
De sinople au pont alésé d’une arche d’argent, maçonné de sable, soutenant un oiseau éployé d’or surmonté d’une rose aussi d’argent boutonnée aussi d’or[66].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Personnalités liées à la commune
Aimé Barelli (1917-1995), trompettiste de jazz, y est né.
Jean-Charles Passeroni, né le aux Condamines. Il est ordonné prêtre à Nice par Mgr Cantono. Sa vie allait se dérouler à Milan où habitait son oncle et où il a fait ses études. Il y retourne après son ordination et découvre la poésie. Ses écrits lui ont valu d’être admis à l’Académie des Trasformati qui regroupait l’élite des jeunes milanais. Rousseau publia sur lui un article élogieux. Titulaire de pensions importantes de l’impératrice Marie-Thérèse, il les utilisa à des fins charitables. Il meurt à Milan en 1803.
Jean de Tournefort, abbé de Saint-Pons en 1362, de Lérins en 1365, évêque de Nice en 1382.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. I : Cantons d'Antibes à Levens, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 504 p. (ISBN2-84234-071-X)
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]