Le film reçoit le soutien de la famille Owens, de la Fondation Jesse Owens et du Luminary Group[1].
Synopsis
En 1933, en pleine période de ségrégation raciale, Jesse Owens arrive à l'université d'État de l'Ohio pour travailler avec les meilleurs entraîneurs de l'époque. Owens, petit‐fils d'esclave, développe une relation étonnante avec un entraîneur blanc, Larry Snyder. Devenu entraîneur d'avant‐garde, obsédé par la réussite, il ne fait aucune distinction de couleur entre ses protégés, contrairement à ses collègues. Les deux athlètes n'ont qu'un objectif : les Jeux olympiques d'été de 1936 à Berlin.
Devant le racisme dans son propre pays ainsi qu'au cœur de l'Allemagne du Troisième Reich, Jesse Owens bat tous les records de médailles (4 médailles d'or : 100 m, longueur, 200 m, 4x100 m) et prouve qu'un homme seul peut être le grain de sable qui fait déraper une machinerie de propagande monstrueuse que ce soit en Allemagne ou aux États-Unis.
Production : Jean-Charles Levy, Luc Dayan, Nicolas Manuel, Karsten Brünig, Kate Garwood, Stephen Hopkins, Thierry Potok, Louis-Philippe Rochon et Dominique Séguin[2]
Sociétés de production : Forecast Pictures, JoBro Productions & Film Finance, Solofilms et Trinity Race
Sociétés de distribution : Entertainment One Films (Canada), SquareOne Entertainment (Allemagne) et LFR Films (France)
Source et légende : Version française (VF) sur RS Doublage[6] ; version québécoise (VQ) sur Doublage.qc.ca[7]
Production
Genèse et développement
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Le film se base sur la légende racontant qu'Adolf Hitler, furieux de voir un Noir triompher, aurait refusé de serrer la main à Jesse Owens. Cette histoire est fausse puisque Jesse Owens affirme dans ses mémoires qu'Adolf Hitler ne l'avait pas snobé et lui avait fait un signe de la main lorsqu'il était passé devant sa loge[8].
Le film recueille 19,2 millions de dollars en Amérique du Nord et 5,9 millions de dollars dans d'autres pays pour un total mondial de 25,1 millions de dollars[17].
Meilleur son pour Claude La Haye, Luc Boudrias and Pierre-Jules Audet
Meilleur montage son pour Pierre-Jules Audet, Jérôme Décarie, Michelle Cloutier, Stan Sakell, Jean-François Sauvé, Mathieu Beaudin, François Senneville, Luc Raymond et Jean-Philippe Saint-Laurent
Meilleurs effets visuels pour Martin Lipmann, Cynthia Mourou, Benoît Touchette, Jonathan Piché-Delorme et Frédéric Breault