Cette peinture s'inspire du collageLe Dictateur d'Erwin Blumenfeld (1937) publié dans Paris Magazine de [1], qu'il flanque d'autres mains levées renforçant le grotesque et renvoyant à la virulence des dadaïstes allemands[2],[3].
Le choix du veau fait référence au thème biblique du veau d'or, une idole inspirée de celle des Égyptiens, mais replacé dans le contexte de montée du nazisme, il est difficile de ne pas y voir une satire de la fanatisation des masses par le régime fasciste[2].