L'histoire met en scène une héroïne ne portant sur elle qu'une cagoule et un nunchaku. Cette héroïne sans-dessous défend de façon burlesque les filles d'un lycée dont les professeurs ne sont que des hommes machos, pervers et sadiques. Si ces jeunes filles font moins de 19/20 lors d'un examen, c'est la torture assurée. Cependant Kekkō, jeune fille mystérieuse, nue et masquée, veille.
Kekkō Kamen est avant tout une comédie, pastiche de Gekkō Kamen[1], une série live de 1958 et les pinku eiga. L'ambiance évoque le ecchi mais restant dans la pudeur, l'histoire touche un plus large public contrairement aux films, destinés aux aficionados.
Puis, comme répond Gō, lors de Japan Expo2008[2], à la question rigolote « Ne trouvez-vous pas que Kekkō Kamen est une héroïne culottée ? » : « À la base, Kekkō Kamen est une parodie de Gekkō Kamen. C’était une blague, je l’avais envoyée à mon éditeur en pensant qu’il refuserait ; sauf qu’il a adoré. Elle dure depuis 30 ans. Comme je ne voulais pas que les jeunes femmes se sentent offensées par l’attitude de cette héroïne, j’ai ajouté plusieurs personnages féminins à forte personnalité ».
Manga
Kekko Kamen a d'abord été pré-publié dans le magazine Monthly Shōnen Jump de Shueisha, de à . La version française en trois tomes est parue en aux éditions Black Box à la suite d'un financement participatif.