Elle grave avec goût et, très probablement, aide son père dans ses travaux[3]. On cite d'elle : Essais de gravure à l'eau forte, suite de dix pièces dédiées à Mme la veuve Löhr, 1791; paysages d'après Bach, J. Both, Kobell, W. Hodges, Sachtleven, Wagner et Waterloo[3].
Elle est l'épouse du banquier Carl Eberhard Löhr à Leipzig[4].
Juliane Wilhelmine Bause meurt le dans sa ville natale[1].
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Classement par ordre chronologique :
[Huber 1801] Michel Huber, « Bause (Juliane Wilhelmine) », dans Catalogue raisonné du cabinet d'estampes de feu monsieur Winckler, vol. 1 divisé en deux parties, renfermant l'école allemande, Breitkopf et Härtel, (lire en ligne), p. 57-58.
Charles Le Blanc, « Bause (Juliane Wilhelmine) », dans Manuel de l'amateur d'estampes, vol. 1, (lire en ligne), p. 210.
[Nagler 1885] (de) Georg Kaspar Nagler, « Bause. Juliane Wilhelmine », dans Allgemeines Künstler-lexikon, vol. 2, , 2e éd. (lire en ligne), p. 166.
[Fröhlich 2002] (de) Anke Fröhlich, Landschaftsmalerei in Sachsen in der zweiten Hälfte des 18. Jahrhunderts, , 459 p. (ISBN9783897392618, lire en ligne), p. 279.