Juana Maria, née à une date inconnue et morte le , mieux connue comme « la femme seule de San Nicolas », était une amérindienne, dernière survivante de sa tribu, les Nicoleño. Juana Maria est le nom de baptême qui lui fut donné peu avant sa mort ; son nom amérindien est inconnu.
En 1814, une partie des Amérindiens d'Alaska travaillant pour la Compagnie russe d'Amérique massacrent la plupart des insulaires après les avoir accusés d'avoir tué l'un des leurs[5].
↑(en) Lauren Willis, Jack Watts, Craig Skinner et Leslie Reeder, « Paleoindian Seafaring, Maritime Technologies, and Coastal Foraging on California’s Channel Islands », Science, vol. 331, no 6021, , p. 1181–1185 (ISSN0036-8075 et 1095-9203, PMID21385713, DOI10.1126/science.1201477, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Davis, T. W.; Erlandson, J. M.; Fenenga, G. L.; Hamm, K., « Chipped stone crescents and the antiquity of maritime settlement on San Nicolas Island », California Archaeology, vol. 2, no 2, , p. 185–202 (lire en ligne)
↑(en) Braje, T. J.; Costello, J. G.; Erlandson, J. M.; Glassow, M. A.; Johnson, J. R.; Morris, D. P.; Perry, J. E.; Rick, T. C., « Channel Islands National Park: Archaeological overview and assessment », Channel Islands National Park, National Park Service, (lire en ligne)
↑(en) Morris, S. L.; Farris, G. J.; Schwartz, S. J.; Wender, I. V. L.; Dralyuk, B., « Murder, massacre, and mayhem on the California Coast, 1814–1815: Newly translated Russian American Company documents reveal company concern over violent clashes », Journal of California and Great Basin Anthropology, vol. 34, no 1,
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