En 2013, elle est lauréate du Prix littéraire Nike pour son roman Ciemno, prawie noc (Il fait noir, presque nuit littéralement Sombre, presque nuit)[2].
Elle publie notamment dans Twórczość, Czas Kultury, Tygodnik Powszechny, Bluszcz, Kultura i Społeczeństwo.
Elle est l'autrice de rapports de recherche, d'essais, de romans et de nouvelles.
De 1999 à 2008 Joanna Bator travaille comme chargée de recherches à l'Institut de philosophie et de sociologie de l'Académie polonaise des sciences. De 2007 à 2011, elle est également chargée de cours à l'Institut polono-japonais de technologies de l'information et dans plusieurs autres universités.
Elle est devenue experte et admiratrice de la culture japonaise. Le résultat du premier séjour de deux ans au Japon de Joanna Bator est le livre Japoński wachlarz (L'Éventail japonais) (2004, 2011) lauréat de plusieurs prix littéraires[réf. nécessaire].
Depuis 2011, Joanna Bator est devenue écrivaine à temps complet[réf. nécessaire].
Son premier roman Kobieta (Une femme) (2002) n'avait pas retenu l'attention de la critique, mais le second, Piaskowa Góra (La Montagne de sable) (2009), a remporté un grand succès en Pologne et à l'étranger, ouvrant la voie aux deux suivants : Chmurdalia (2010) et Ciemno, prawie noc (Il fait noir, presque nuit) (sorti fin 2012), qui remporte le Prix Nike en 2013[réf. nécessaire].
Œuvres
2001 – Feminizm, postmodernizm, psychoanaliza (Le féminisme, le postmodernisme et la psychanalyse), Gdańsk, Słowo/Obraz Terytoria