Jacques Maire (homme politique)

Jacques Maire
Illustration.
Jacques Maire en 2017.
Fonctions
Président du groupe ADLE pour l'Europe à l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe
–
(2 ans, 4 mois et 25 jours)
Prédécesseur Rik Daems
Successeur Iulian Bulai
Député français
–
(5 ans)
Élection 18 juin 2017
Circonscription 8e des Hauts-de-Seine
LĂ©gislature XVe (CinquiĂšme RĂ©publique)
Groupe politique LREM
Prédécesseur Jean-Jacques Guillet
Successeur Prisca Thevenot
Conseiller régional de Bretagne
–
(6 ans et 13 jours)
Élection 15 mars 1998
Biographie
Date de naissance (62 ans)
Lieu de naissance Enghien-les-Bains (Val-d'Oise, France)
Nationalité Française
Parti politique PS (avant 2016)
LREM (depuis 2016)
EC (depuis 2020)
PĂšre Edmond Maire

Jacques Maire, né le à Enghien-les-Bains (Seine-et-Oise), est un diplomate, dirigeant d'entreprise et homme politique français.

Fils d'Edmond Maire, secrétaire général de la Confédération française démocratique du travail (CFDT) de 1971 à 1988, il est le premier président de Pour un syndicalisme autogestionnaire (PSA), syndicat étudiant proche de la CFDT. Dans les années 1990-2000, il occupe différents postes au sein de la haute administration, dont ceux de conseiller diplomatique, chargé des affaires européennes, auprÚs du Premier ministre Pierre Bérégovoy, et de directeur de cabinet de Dominique Voynet au ministÚre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement, ainsi que des postes de dirigeant chez Axa et Vigeo Eiris.

Membre du Parti socialiste puis de La République en marche, il exerce plusieurs mandats électifs en Bretagne dans les années 1990-2000. Il est député de la huitiÚme circonscription des Hauts-de-Seine de 2017 à 2022.

Origines et formation

Jacques Maire, né le , est le fils d'Edmond Maire et de Raymonde Le Goff[1].

Il obtient une maĂźtrise de sciences Ă©conomiques de l'UniversitĂ© Paris-Dauphine (1980-1984), ainsi qu'un D.E.S.S. de DĂ©veloppement Ă©conomique de l'UniversitĂ© Paris-Nanterre (1984-1985). Il est Ă©galement diplĂŽmĂ© de l'Institut d'Ă©tudes politiques de Paris (1986)[2], et intĂšgre l’École nationale d'administration (1988-1990, promotion Jean Monnet)[3],[4].

Parcours professionnel

Jacques Maire a passĂ© la premiĂšre partie de son activitĂ© professionnelle au sein de l'État. En 1992, Jacques Maire devient conseiller politique auprĂšs de l'ambassadeur de France en AlgĂ©rie[3],[5]. Il est ensuite conseiller diplomatique, chargĂ© des affaires europĂ©ennes, auprĂšs du Premier ministre Pierre BĂ©rĂ©govoy, Ă  Matignon d' Ă  [5]. En , il est nommĂ© directeur de cabinet de Dominique Voynet, ministre de l'Environnement et de l'AmĂ©nagement du Territoire[6]. Enfin, entre et , il se voit confier la direction des Affaires europĂ©ennes et internationales au ministĂšre du Travail, de la SantĂ© et des Affaires Sociales[6],[5].

En , il dĂ©cide de se tourner vers le secteur privĂ©. Il rejoint le groupe assureur Axa, oĂč il exerce diffĂ©rentes fonctions de management[6],[5], d'abord aux ressources humaines, avant de prendre en charge le dĂ©veloppement international du groupe[4]. Il conduit notamment la stratĂ©gie d'Axa en Europe, ainsi que dans la rĂ©gion mĂ©diterranĂ©enne[3], au Proche-Orient et en AmĂ©rique latine. Il a Ă©tĂ© prĂ©sident-directeur gĂ©nĂ©ral de la filiale d'Axa en Hongrie de 2009 Ă  2012[3],[7],[5].

Fin 2012, il rejoint le Quai d'Orsay comme directeur des entreprises et de l’économie internationale[8], avec pour mission de dĂ©velopper la stratĂ©gie Ă©conomique de la France Ă  l'Ă©tranger et de soutenir les entreprises françaises dans la conquĂȘte de nouveaux marchĂ©s. Son ministre de tutelle est Laurent Fabius[3],[9],[10],[11].

De retour dans le secteur privé en 2015, il est nommé directeur de la stratégie et du développement de Vigeo Eiris, agence internationale indépendante de recherche et services environnementaux, sociaux et de gouvernance[4]. Il conduit une augmentation de capital de la société et négocie l'acquisition de son concurrent britannique EIRIS.

De janvier à , Jacques Maire est ambassadeur thématique au ministÚre des Affaires étrangÚres, chargé de la reconstruction et du développement des pays en crise[12].

Il est nommĂ© le 2 fĂ©vrier 2023 PrĂ©sident de la Compagnie Française des Expositions (COFREX) et Commissaire GĂ©nĂ©ral pour la France de l’Exposition Universelle Osaka 2025 au Japon. Il avait participĂ© auparavant comme directeur des entreprises au MinistĂšre des Affaires EtrangĂšres et comme dĂ©putĂ© aux organes de gouvernance des pavillons français aux expositions universelles de Milan en 2015 et de DubaĂŻ en 2020[13].

Parcours politique

DĂ©buts

Jacques Maire doit une part de son engagement associatif à ses origines familiales. En effet, son pÚre Edmond Maire a été secrétaire général de la CFDT[3],[10],[5].

Durant ses années universitaires, Jacques Maire fonde Pour un syndicalisme autogestionnaire (PSA), syndicat étudiant proche de la CFDT, au cours des années 1982 et 1983, au moment du mouvement contre la réforme Savary des universités de 1983. Il est le premier président de ce syndicat, qui a le soutien financier et militant de la CFDT.

Il exerce plusieurs mandats locaux dans le FinistĂšre : conseiller municipal de Plabennec de 1995 Ă  2001[5],[14], vice-prĂ©sident de la CommunautĂ© urbaine de Brest de 2001 Ă  2008 et conseiller rĂ©gional PS[15] de Bretagne de 1998 Ă  2004[5].

Député de la XVe législature

Élections lĂ©gislatives de 2017

Il rejoint En Marche ! en et est investi pour les Ă©lections lĂ©gislatives dans la 8e circonscription des Hauts-de-Seine[12],[16]. Au premier tour, il arrive en tĂȘte avec 48,03 % des voix[17],[18], devant le candidat Les RĂ©publicains, Gilles Boyer, l'ex-directeur de campagne d'Alain JuppĂ© et proche conseiller d'Édouard Philippe[19]. Jacques Maire est Ă©lu au second tour avec 61,03 % des voix[20].

Activité législative

Il est membre de la Commission des Affaires Ă©trangĂšres de l’AssemblĂ©e nationale[21].

Fin 2017, Jacques Maire copilote, avec Matthieu Orphelin, un groupe de travail des députés LREM sur l'application de l'Accord économique et commercial global, dit CETA, qui formule une trentaine de propositions d'encadrement[22]. Durant l'été 2019, il est rapporteur du projet de loi de ratification du CETA[23].

En juillet 2018, il est à l'origine, avec le président Tinni de l'Assemblée du Niger, d'une réunion des Présidents d'Assemblée sahéliens et organise le sommet interparlementaire de Paris du 13 décembre 2018, qui associe les présidents des parlements, des bailleurs de fonds et des forces de sécurité de la zone sahélienne. Le comité interparlementaire G5-Sahel est créé à l'issue de ce sommet[24].

Il est co-rapporteur, aux cĂŽtĂ©s d’Ugo Bernalicis (La France Insoumise), de la mission d’évaluation de la lutte contre la dĂ©linquance financiĂšre[25],[26]. Les deux dĂ©putĂ©s prĂ©sentent leur rapport en mars 2019, dans lequel ils rĂ©clament notamment la hausse des effectifs du parquet national financier[27],[28].

Il porte rĂ©guliĂšrement le projet de rĂ©forme des retraites dans le dĂ©bat public en soulignant notamment la nĂ©cessitĂ© d’un accord avec les partenaires sociaux rĂ©formistes sur le projet lui-mĂȘme et sur une gouvernance partagĂ©e[29],[30]. À l'AssemblĂ©e, il est rapporteur du Titre II du projet de loi portant sur les sujets suivants : carriĂšre longue, cumul emploi-retraite, retraite progressive, pĂ©nibilitĂ©, catĂ©gories actives (policiers, douaniers
), militaires, rĂ©gimes spĂ©ciaux[31].

Lors de l’examen du projet de loi de finance rectificatif dans le contexte de la crise du Covid-19 no 2820[32], le 17 avril 2020, Jacques Maire, accompagnĂ© de 80 dĂ©putĂ©s de la majoritĂ© dont Émilie Cariou et Lionel Causse, fait voter un amendement pour mettre sous surveillance le secteur des assurances[33],[34]. Cet amendement demande un rapport trĂšs prĂ©cis pour examiner l’évolution des comptes des assurances, risque par risque, avant le mois d’aoĂ»t 2020[35].

Jacques Maire est co-rapporteur avec la députée LR MichÚle Tabarot d'une mission d'information sur le contrÎle des exportations d'armement[36].

Positionnement au sein du groupe LREM

En , aprÚs la nomination de François de Rugy au gouvernement, il soutient la candidature de Barbara Pompili à la présidence de l'Assemblée nationale[37].

ImpliquĂ© comme animateur du Grand dĂ©bat national au sein du groupe parlementaire La RĂ©publique en marche, il dĂ©clare alors qu'« un pack de ministres dĂ©passe le groupe sur son aile droite Â», et appelle le groupe Ă  se positionner comme garant de l’équilibre du projet de la majoritĂ©[38].

AccompagnĂ© des dĂ©putĂ©s Hugues Renson et Barbara Pompili, Jacques Maire est Ă  l’origine de l’association En commun. Se situant au sein du groupe La RĂ©publique en marche, cette association est composĂ©e de 56 dĂ©putĂ©s, est ouverte aux citoyens et a pour objectif d’inflĂ©chir l’action de la majoritĂ© « dans le domaine des solidaritĂ©s, de l’écologie, de la cohĂ©sion nationale et du renouveau des pratiques dĂ©mocratiques Â»[39]. Alors que le mouvement se constitue en parti durant l'automne 2020, il en est l'un des trois vice-prĂ©sidents avec Barbara Pompili et Hugues Renson[40].

Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE)

Jacques Maire est membre de l’AssemblĂ©e parlementaire du Conseil de l’Europe depuis 2017[41],[42].

En janvier 2020, il est Ă©lu Ă  la prĂ©sidence du troisiĂšme groupe de cette assemblĂ©e, le groupe Alliance des DĂ©mocrates et LibĂ©raux pour l’Europe (ADLE). Ce dernier comprend 96 dĂ©putĂ©s de plus de 30 nationalitĂ©s diffĂ©rentes[43],[44].

Il est Ă©galement membre du bureau du parti ADLE.

Fin de mandat

Le 8 mai 2022, Jacques Maire n'est pas investi pour les élections législatives dans la 8e circonscription des Hauts-de-Seine par Ensemble, la coalition de partis politiques soutenant le président réélu Emmanuel Macron. L'investiture est attribuée à Prisca Thévenot, porte-parole de LREM parachutée de Seine-Saint-Denis. Annoncé comme potentiel candidat dissident, Maire déclare une dizaine de jours plus tard ne pas se présenter à ces élections[45],[46].

Controverses

Accusations de conflits d'intĂ©rĂȘts

Le 25 fĂ©vrier 2020, la dĂ©putĂ©e LFI Mathilde Panot interpelle Jacques Maire, alors corapporteur du projet de loi sur la rĂ©forme des retraites, au sujet de ses plus de 300 000 euros d'actions chez l'assureur Axa, l'accusant ainsi de « conflits d'intĂ©rĂȘts Â». Il annonce saisir la dĂ©ontologue de l'AssemblĂ©e nationale, AgnĂšs Roblot-Troizier[47]. Celle-ci dĂ©clare que ses parts dans l’entreprise spĂ©cialisĂ©e dans les produits d’épargne-retraite ne lui « interdisent pas (
) d’exercer les fonctions Â», tout en estimant qu'il a pĂ©chĂ© par une trop grande discrĂ©tion sur ses anciennes activitĂ©s professionnelles[48].

Caricatures

Le , il porte plainte contre X pour « acte d'intimidation envers un Ă©lu public pour qu'il influence une autoritĂ© pour l'obtention de dĂ©cision favorable Â» et « diffamation envers un dĂ©positaire de l'autoritĂ© publique Â» Ă  la suite de caricatures Ă  son effigie publiĂ©es dans l'espace public et sur les rĂ©seaux sociaux, concernant son vote favorable Ă  la proposition de loi relative Ă  la sĂ©curitĂ© globale. À la suite de cette plainte, un professeur d'histoire de l'art, militant engagĂ© dans la dĂ©fense des droits de l'homme, est convoquĂ© au commissariat de la ville de Meudon le 17 dĂ©cembre 2020[49].

Notes et références

  1. ↑ Qui est qui en France, J. Lafitte, , p. 1434.
  2. ↑ « Sciences Po Alumni Â», sur asso.fr (consultĂ© le ).
  3. ↑ a b c d e et f Hubert-Rodier, 25/03/2013, « Jacques Maire, un diplomate-militant au service de l'entreprise Â» [1]
  4. ↑ a b et c DĂ©borah Paquet, 13/01/2015, Actu Environnement.com, « Jacques Maire est nommĂ© directeur de la stratĂ©gie et du dĂ©veloppement de Vigeo Â» [2]
  5. ↑ a b c d e f g et h Romain Chetaille (Auteur) et Joseph d'Arrast (Auteur), 100 PersonnalitĂ©s de demain : Portraits, , 127-128 =
  6. ↑ a b et c Le Telegramme, 21/11/2002, « Jacques Maire rejoint AXA Â»[3]
  7. ↑ GwenaĂ«lle Thomas, 09/07/2013, Le Journal Francophone de Budapest, « Un pays qui fait dĂ©bat ! Â»[4]
  8. ↑ MinistĂšre de l'Europe et des Affaires Ă©trangĂšres, « Diplomatie Ă©conomique : Interview de Jacques Maire (France 24, 06.04.2013) Â», (consultĂ© le )
  9. ↑ Direction gĂ©nĂ©rale de la mondialisation, du dĂ©veloppement et des partenariats, fĂ©vrier 2014, « LE QUAI D'ORSAY AU SERVICE DES ENTREPRISES Â» [5]
  10. ↑ a et b Anne Denis, 08/04/2014, Slate.fr, « Le Quai d’Orsay veut rĂ©gner sur la diplomatie Ă©conomique Â»[6]
  11. ↑ SolĂšne Davesne, LE 20/09/2012, usinenouvelle.com, « Les convictions du Monsieur "Entreprises" du quai d’Orsay Â»[7]
  12. ↑ a et b G. Guidi e A. Moccia di Ferrazzano, 25/05/2017, Opinione, « L’onda Macron e i suoi protagonisti Â»[8]
  13. ↑ Christine Gilguy, « Nominations : Expo universelle Osaka, GXO Logistics, Dimotrans, Contargo, Coface, Bercy Â», sur Le Moci, (consultĂ© le )
  14. ↑ « Jacques Maire Â», Le Telegramme,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  15. ↑ « cahier spĂ©cial Ă©lections rĂ©gionales Â»(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?), LibĂ©ration, .
  16. ↑ Anne-Sophie Damecour, Le Parisien, « LĂ©gislatives : quatre nouveaux candidats se mettent en marche dans le 92 Â»[9]
  17. ↑ MinistĂšre de l'IntĂ©rieur, « Elections lĂ©gislatives 2017 Â», sur elections.interieur.gouv.fr (consultĂ© le ).
  18. ↑ (en) « LĂ©gislatives 2017 : Jacques Maire Ă  48 % dans la 8e circonscription des Hauts-de-Seine Â», sur m.leparisien.fr (consultĂ© le ).
  19. ↑ « Le juppĂ©iste Gilles Boyer nommĂ© conseiller Ă  Matignon Â», sur Challenges (consultĂ© le )
  20. ↑ MinistĂšre de l'IntĂ©rieur, « Ă‰lections lĂ©gislatives 2017 Â», sur elections.interieur.gouv.fr (consultĂ© le ).
  21. ↑ « Commission des affaires Ă©trangĂšres - AssemblĂ©e nationale Â», sur www2.assemblee-nationale.fr (consultĂ© le ).
  22. ↑ « CETA: comment des dĂ©putĂ©s LREM veulent encadrer son application Â», Challenges,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  23. ↑ Ellen Salvi, « Ă€ l’AssemblĂ©e, l’opposition fait front commun contre le Ceta Â», sur Mediapart, (consultĂ© le ).
  24. ↑ Jeune Afrique, « G5 Sahel : une rencontre avec les bailleurs de fonds prĂ©vue fin 2018 Ă  Paris Â»
  25. ↑ « ComitĂ© d'Ă©valuation et de contrĂŽle des politiques publiques - AssemblĂ©e nationale Â», sur www2.assemblee-nationale.fr (consultĂ© le ).
  26. ↑ « Composition du comitĂ© d'Ă©valuation et de contrĂŽle des politiques publiques au 30 janvier 2019ComitĂ© d'Ă©valuation et de contrĂŽle des politiques publiques - AssemblĂ©e nationale Â», sur www2.assemblee-nationale.fr (consultĂ© le ).
  27. ↑ « DĂ©linquance financiĂšre : dans un rapport parlementaire, deux dĂ©putĂ©s LFI et LaREM demandent plus de moyens Â», sur LCP AssemblĂ©e nationale (consultĂ© le ).
  28. ↑ « L’État dĂ©passĂ© par le dĂ©veloppement de la dĂ©linquance financiĂšre Â», sur www.lefigaro.fr, (consultĂ© le ).
  29. ↑ Paris Match, « Jacques Maire : Une voix sociale chez les marcheurs Â», sur parismatch.com (consultĂ© le )
  30. ↑ « Retraites : les dĂ©putĂ©s de la majoritĂ© qui vont porter le projet de loi Ă  l'AssemblĂ©e Â», sur Les Echos, (consultĂ© le )
  31. ↑ « Retraites : les dĂ©putĂ©s de la majoritĂ© qui vont porter le projet de loi Ă  l'AssemblĂ©e Â», sur Les Echos, (consultĂ© le )
  32. ↑ AssemblĂ©e Nationale, « Projet de loi de finances rectificative nÂș 2820 pour 2020 Â», sur AssemblĂ©e nationale (consultĂ© le )
  33. ↑ « "Les assureurs ont loupĂ© le coche" : la contribution dĂ©risoire du secteur financier Ă  la crise Â», sur Marianne, (consultĂ© le )
  34. ↑ « Coronavirus : les banques et les assurances Ă©chappent Ă  une taxation supplĂ©mentaire Â», sur Les Echos, (consultĂ© le )
  35. ↑ « AssemblĂ©e nationale ~ PLFR POUR 2020 (no 2820) - Amendement no 90 Â», sur www.assemblee-nationale.fr (consultĂ© le )
  36. ↑ AssemblĂ©e nationale, « Rapport d'information dĂ©posĂ© en application de l'article 145 du rĂšglement, par la commission des affaires Ă©trangĂšres, en conclusion des travaux d'une mission d'information sur le contrĂŽle des exportations d’armement (M. Jacques Maire et Mme MichĂšle Tabarot) Â», sur AssemblĂ©e nationale (consultĂ© le )
  37. ↑ Julie Cloris, « Duel Ferrand-Pompili pour prĂ©sider l’AssemblĂ©e : qui soutient qui ? Â», sur leparisien.fr, (consultĂ© le ).
  38. ↑ « Â« Merde, on a votĂ© Macron, pas JuppĂ© ! Â» Les tensions secrĂštes de la majoritĂ© Â», sur L'Obs (consultĂ© le ).
  39. ↑ Laure Equy, « A l'AssemblĂ©e, «l'aile gauche» des marcheurs s'organise en courant Â», sur LibĂ©ration.fr, (consultĂ© le )
  40. ↑ Le Figaro avec AFP, « MajoritĂ© : le courant «En Commun!» de Pompili devient un parti Â», sur lefigaro.fr, (consultĂ© le ).
  41. ↑ « Composition de la dĂ©lĂ©gation française Ă  l'AssemblĂ©e parlementaire du Conseil de l'Europe au 16 juin 2020 - AssemblĂ©e nationale Â», sur www2.assemblee-nationale.fr (consultĂ© le )
  42. ↑ « Paroles de dĂ©putĂ©s confinĂ©s : Jacques Maire | LCP Â», sur La ChaĂźne Parlementaire - AssemblĂ©e Nationale (consultĂ© le )
  43. ↑ « Rik Daems elected President of the Council of Europe Â», sur aldeparty.eu, (consultĂ© le )
  44. ↑ « 2020, un double anniversaire pour le projet europĂ©en Â», sur EEAS - European Commission (consultĂ© le ).
  45. ↑ Tristan Quinault-Maupoil, « LĂ©gislatives 2022 : la majoritĂ© Ă©vince un proche de Barbara Pompili Â», sur lefigaro.fr, Le Figaro, .
  46. ↑ Lucas HĂ©lin, « LĂ©gislatives: la majoritĂ© devrait limiter les candidatures dissidentes Â», sur lopinion.fr, L'Opinion, .
  47. ↑ « RĂ©forme des retraites : le co-rapporteur du texte Jacques Maire, accusĂ© de "conflit d'intĂ©rĂȘts" pour des actions chez Axa, saisit la dĂ©ontologue de l'AssemblĂ©e Â», sur francetvinfo.fr, (consultĂ© le ).
  48. ↑ Bertrand Bissuel et RaphaĂ«lle Besse DesmouliĂšres, « RĂ©forme des retraites : Jacques Maire restera corapporteur du projet de loi, malgrĂ© ses liens avec Axa Â», sur lemonde.fr, (consultĂ© le ).
  49. ↑ Marjorie Lenhardt, « Un prof convoquĂ© par la police pour avoir placardĂ© le portrait de son «dĂ©putĂ© de la honte» Â», sur leparisien.fr, (consultĂ© le ).

Liens externes

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