Le taureau "Granadino", petit, peureux avec de grandes cornes le prend d'un coup de corne à la cuisse droite au début de sa faena de muleta alors qu'il exécutait une passe à l'estribo[2]. La blessure n'était pas mortelle, mais Sanchez Mejias refusant d' être opéré, la gangrène s'est déclarée et il meurt deux jours plus tard[1].
Bruno Doucey y fait référence dans son livre Federico Garcia Lorca : Non au franquisme[3]
Bibliographie
Robert Bérard, Histoire et dictionnaire de la Tauromachie, Paris, Bouquins Laffont, , 1056 p. (ISBN2221092465)