La modernisation de l'itinéraire Paris-Nord – Pontoise est alors lancée avec pour but d'améliorer les performances de cette ligne dont la fréquentation est en hausse constante avec l'urbanisation croissante de la banlieue Nord et de faire disparaître les locomotives à vapeur141 TC tractant les robustes mais spartiates voitures de type Nord à la fin de 1970. En avril/mai 1969, la traction électrique est en service sur Paris – Pontoise et Pontoise – Creil accompagnée de la signalisation par block automatique lumineux. Puis finalement, c'est au tour de l'antenne Ermont - Eaubonne – Valmondois en décembre 1970[2].
Le nombre de voyageurs quotidiens était inférieur à 500 en 2002[3].
En 2012, 540 voyageurs ont pris le train dans cette gare chaque jour ouvré de la semaine[4].
Le bâtiment voyageurs (BV) est quasi identique à celui de la gare de Méry-sur-Oise. Ces deux constructions, similaires à l'origine, ont été plus tard dotées d'une toiture mansardée dans la partie haute, contrairement à d'autres gares de la ligne comme Bessancourt. L'aile basse du BV de Mériel a été portée à six travées (contre quatre auparavant[5])
Notes et références
↑Bernard Collardey, Les Trains de Banlieue Tome II, pages 57 et 66.
↑
[PDF]« Délibération n° 2012/301, séance du 10 octobre 2012 », sur le site du STIF (consulté le ) : « Déploiement de nouveaux afficheurs Infogare TFT/TLED ligne H, Volet information voyageurs : Identifiant PQI 181 », p. 15. Le STIF définit le nombre de montants pour une gare comme le nombre de voyageurs y prenant le train les jours ouvrés et hors période de vacances scolaires.