Cet article est une ébauche concernant une femme politique française.
Frédérique Puissat, née le 4 novembre 1967 à Vif, est une femme politique française. Elle est actuellement sénatrice de l'Isère.
Elle est titulaire d'un bac A1[1].
Elle est secrétaire générale de Twinner[2],[3] puis cadre administratif et financier chez Go Sport.
Elle est maire de Château-Bernard[4] de 2001 à 2017.
De 2008[5] à 2011[6],[7], elle succède à Christian Durif[8],[9],[10],[11] à la présidence de la communauté de communes du canton de Monestier-de-Clermont[12],[13]. En 2012, elle accède à la 1re vice-présidence[14] de la communauté de communes du Trièves puis à la 7e vice-présidence à l'enfance, à la jeunesse et à la famille en 2014[15],[16].
Elle est élue conseillère générale du canton de Monestier-de-Clermont lors des cantonales de 2011[17],[18].
En 2011, Michel Savin lui propose d'être candidate sur sa liste lors des sénatoriales. Elle figure en 2e position sur la liste de la majorité présidentielle, mais elle n'est pas élue[19].
En mars 2015, elle est élue conseillère départementale[20] du canton de Matheysine-Trièves[21] en tandem avec Fabien Mulyk[22],[23],[24],[25],[26],[27]. Elle est nommée 1re vice-présidente du conseil départemental de l'Isère, déléguée à la famille, à l'enfance et à la santé[28],[29],[30].
Le 24 septembre 2017, elle est élue sénatrice de l'Isère[31],[32],[33],[34],[35],[36],[37]. Touchée par le cumul des mandats, elle démissionne de ses mandats de maire[38],[39],[40] et de vice-présidente de la communauté de communes[41] ; néanmoins, elle continue de siéger comme conseillère municipale et communautaire[42].
En 2009, elle est nommée secrétaire départementale de l'UMP 38[43],[44]. Elle est vice-présidente des Républicains 38[45].
Elle soutient François Fillon à la primaire de la droite et du centre de 2016[46],[47],[48].
Elle parraine Laurent Wauquiez pour le congrès des Républicains de 2017[49],[50].
Frédérique Puissat est réélue pour un nouveau mandat au Sénat le 24 septembre 2023[51].
Elle est favorable à un recul de l’âge de départ à la retraite pour éviter un « déséquilibre des comptes sociaux » et s'oppose à la réduction de la durée du travail hebdomadaire[52].
Elle est rapporteure en 2022 du projet de loi sur l'assurance chômage[53].
Elle fait partie des 72 parlementaires qui ont voté contre la constitutionalisation de l'interruption volontaire de grossesse (IVG) le 4 mars 2024 lors de la séance du congrès consacrée à ce vote[54].