Il laisse une grande réputation de vertu, bien qu'il soit qualifié de « Gallican entêté et de janséniste perfide »[2] et créé l’Institution des dames régentes dont le siège est installé à Vertus, un village situé à quelques kilomètres de Châlons[3].
↑Correspondance de Bossuet, éd. augmentée de lettres inédites et publiées avec des notes et des appendices sous le patronage de l'Académie française, par Ch. Urbain et E. Levesque - Tome deuxième, p. 241 note no 5.
↑Armand Jean, Les évêques et les archevêques de France depuis 1682 jusqu'à 1801, Paris et Mamers, « Évêques de Chalons » p. 318.
↑R.P. Richard et Giraud, Bibliothèque sacrée ou Dictionnaire universel, historique, dogmatique, canonique, géographique et chronologique des sciences ecclésiastiques, Paris, 1828, tome XXVVIII, p. 228.
Bibliographie
Alain Romeuf, L'abbaye de Pébrac et Félix Vialart de Herse, abbé commendataire (1646-1649), Cahiers de la Haute-Loire, 2009.
Gilbert Cherest, l'évêque de la paix, Félix Vialart de Herse, évêque et comte de Chalons, pair de France, Mémoires de la S.A.C.S.A.M., LXXXVII, 1972.