Originaire de la ville de Niort, elle grandit à la Tour-Chabot. À l'âge de 20, elle entre au conseil général devenu le conseil départemental. En lien avec l'institution, elle travaille à la communication du musée des Tumulus de Bougon[1]. Autodidacte, elle pratique la photographie en parallèle de ses activités professionnelles[2].
En 2010, la série Can't get it out of my head remporte le premier prix Compétence Photo. L'artiste participe pour la première fois au Salon de la Photo de Paris[3].
En 2013, l'exposition « Double Je » est présentée à la Villa Pérochon[4]. Emmanuelle Brisson évoque la filiation à travers des photographies montrant son père, voyageur d'Afrique décédé quand la photographe avait 11 ans[5],[6]. La même année, elle reçoit le prix Photo d'Hôtel, Photo d'Auteur (PHPA), initié par le label Hôtels Paris Rive Gauche visant à soutenir la photographie contemporaine. Une exposition collective prend place à la même période à la Galerie Esther Woerdehoff de Paris[7].
En 2017, elle est lauréate du Prix de la Quinzaine Photographique Nantaise (QPN)[8] et du prix spécial du jury de la Bourse du talent, dans la catégorie « Portrait », pour le projet photographique « Les profondeurs du cœur ». La série aborde l'intimité d'Andrée, ancienne repasseuse de 89 ans et mère d'Emmanuelle Brisson[1].
Distinctions
2010 : Lauréate du concours Compétence photo : un rêve en vert
2013 : Prix PHPA, Galerie Esther Woerdehoff, Paris
2017 : Prix de la Quinzaine Photographique Nantaise
2017 : Prix spécial du jury de la Bourse du talent, catégorie portrait
Expositions
Parmi une liste non exhaustive :
2010 : CAC, exposition collective, Festival Teciverdi, Moulin du Roc, Niort, 17 avril au 29 mai
2010 : Festival photo MAP Toulouse, Toulouse, 1er au 31 mai
2010 : Salon de la Photo de Paris, Porte de Versailles, Paris, 4 au 8 novembre