Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Le surnom de Bachknippe a été donné aux habitants à l'époque où l'industrie de la chaussure était prédominante à Dettwiller. Ce nom désigne le tranchet du cordonnier.
Géographie
La ville est située dans la vallée de la Zorn entre les Vosges à l'ouest, la plaine d’Alsace à l'est, les collines du pays de Hanau au nord et les hauteurs du Kochersberg au sud.
Lieux-dits et écarts
Rosenwiller
Hameau fondé en 1664 par Reinhold de Rosen. Il est situé au nord de la commune et est rattaché administrativement à celle-ci.
Forêt communale de 308 hectares située dans la vallée de la Zinsel, non loin de Dossenheim[2].
Copropriété indivisée de Saverne et Dettwiller depuis 1400 ; les bourgeois des deux communes eurent le droit d'en retirer leur bois de chauffage et de construction en 1425. Saverne ayant été ruinée par la guerre de Trente Ans, sa part de forêt fut rachetée par Reinhold de Rosen. Saverne racheta sa part à Conrad de Rosen en 1699 après avoir remboursé ses dettes. Un autre traité accorda en 1725 aux habitants de Rosenwiller les mêmes droits forestiers qu'aux habitants de Dettwiller et de Saverne, chacun ayant ainsi droit à 16 stères de bois de chauffage.
Après la Révolution, la forêt fut partagée entre Saverne et Dettwiller proportionnellement à leur population respective. En 1845, les habitants de Dettwiller renoncèrent à leur droit de bois gratuit afin de pouvoir payer la construction du nouveau clocher de l'église.
L'exploitation de la forêt est aujourd'hui régie par l'ONF, le bois récolté étant toujours vendu chaque année aux enchères et les bénéfices reversés à la mairie.
La Wolfenhutte
Maison forestière de la forêt du Fallberg, appartenant également à la commune.
Une ferme est mentionnée pour la première fois en 994 dans l'acte de donation de la forêt de Wisinthowa de l'empereur Otton III à l'abbaye de Seltz. Vers 1275 apparurent des habitations autour d'une chapelle dédiée à saint Blaise (protecteur du bétail)[Note 1]. Au XIVe siècle le village passa tour à tour des mains des évêques de Metz à celles des seigneurs de Lutzelbourg, puis celles des Munch de Wilsperg pour enfin arriver sous la possession des seigneurs de Lichtenberg en 1372.
Le village disparut avant la fin du XVe siècle, possiblement des suites du passages des écorcheurs dans la région dès 1444. Le ban ne comptant alors plus que des prés et des terres labourables, une partie de celui-ci fut loué pour 18 ans par Reinhold de Rosen en 1664 lors de la fondation de Rosenwiller. Le ban fut enfin partagé entre les habitants de Hattmatt par les comtes de Hanau-Lichtenberg en 1736.
La Zorn, d'une longueur totale de 96,7 km, prend sa source dans la commune de Walscheid et se jette dans le canal de la Marne au Rhin à Rohrwiller, après avoir traversé 34 communes[6]. Les caractéristiques hydrologiques de la Zorn sont données par la station hydrologique située sur la commune de Saverne. Le débit moyen mensuel est de 2,1 m3/s[Note 2]. Le débit moyen journalier maximum est de 42,2 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 45,6 m3/s, atteint le même jour[7].
La Zinsel du Sud, d'une longueur totale de 30,9 km, prend sa source dans la commune de Wintersbourg et se jette dans la Zorn à Steinbourg, après avoir traversé 15 communes[8].
La Mossel, d'une longueur totale de 21,2 km, prend sa source dans la commune de Dabo et se jette dans la Zorn sur la commune, après avoir traversé douze communes[9].
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang de la Speck (0,2 ha)[Carte 1],[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 751 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 10,1 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Waltenheim-sur-zorn », sur la commune de Waltenheim-sur-Zorn à 12 km à vol d'oiseau[13], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 652,2 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 38 °C, atteinte le ; la température minimale est de −14,9 °C, atteinte le [Note 4],[14],[15].
Au , Dettwiller est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18].
Elle appartient à l'unité urbaine de Dettwiller[Note 5], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[19],[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[20]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (84,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
prairies (38,7 %), terres arables (28,7 %), zones urbanisées (13,2 %), cultures permanentes (9,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %), forêts (0,3 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Un projet de navette fluviale (canal de la Marne au Rhin) entre Dettwiller et Strasbourg était à l'étude, sous l'égide port autonome de Strasbourg[24].
Toponymie
Le nom de la ville est évoqué pour la première fois dans des textes en 784[25] dans le recueil des chartes de l'abbaye de Wissembourg qui mentionne dendunuuilare dans ses possessions[26],[Note 7]. On retrouve à nouveau ce nom en 788[27],[Note 8] et en 797[28],[Note 9]. Plus tard, en 1120, un fragment de terrier de l'abbaye de Marmoutier évoque Dettenvilre[29] et vers la même époque les revenus du Meier du Dinghof d'Ingenheim mentionnent Deddenwilre ainsi que la forêt du Faleberg[30].
Bien que le rotule colonger[Note 10] de 1380 fasse déjà apparaitre la graphie définitive Dettwiller[31], une carte de Daniel Specklin datant de 1576 mentionne la commune sous le nom de Detwilre[32]. La carte de Cassini, établie vers 1770, indique Dettweiller. Enfin, lors des occupations allemandes (1871-1918 et 1940-1944), le nom du village s'orthographia Dettweiler et parfois Dettweiller[33].
Il s’agit d’une formation toponymique en -willer « groupe habitations rurales, hameau » précédé d’un anthroponyme germanique Detto[34].
Dettwiller se prononce [dɛt̪vilɛʁ] en français, et [dɛˑt̪.vilʀ] en alsacien.
Histoire
Antiquité
Dettwiller est située au carrefour d'anciennes routes celtiques reliant Brumath (Brocomagus) à Saverne (Tres Tabernae, les trois tavernes) et Wasselonne à Niederbronn-les-Bains. Lorsqu'après leur conquête de la Gaule les Romains établirent des camps retranchés le long de la frontière germanique, il est possible qu'ils firent du village celtique de Dettwiller un avant-poste du bastion de Tres Tabernae.
L'abbaye de Wissembourg (784 - IXe siècle)
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Les avoués de l'abbaye de Neuwiller (Xe siècle - 1260)
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Les engagements des comtes de Lichtenberg et des comtes de Deux-Ponts-Bitche (1260 - 1396)
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La ville de Strasbourg (1396 - 1651)
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Les Rosen (1651 - 1848)
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Époque contemporaine (1848 - présent)
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Politique et administration
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cultivateur, propriétaire, charpentier, entrepreneur des ponts et chaussées
juin 1821
octobre 1830
Henri Hahn
propriétaire, cultivateur
octobre 1830
juin 1847
Jean Ledermann
clerc de notaire, propriétaire
juin 1847
avril 1851
Joseph Ammann
meunier, aubergiste, entrepreneur, marchand de fer
avril 1851
janvier 1852
Jean Georges Walch
laboureur
janvier 1852
août 1866
Antoine Mengus
médecin
août 1866
novembre 1875
Jean Roemer
laboureur
novembre 1875
1918
Michel Jacques North
notaire, rentier
1918
mai 1925
Auguste Roos
cultivateur
mai 1925
mai 1935
Frédéric Forrer
médecin
mai 1935
janvier 1941
Joseph Jung
industriel
janvier 1941
novembre 1944
Michel Kolb
agriculteur
décembre 1944
octobre 1945
Joseph Jung
industriel
Les données manquantes sont à compléter.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[42].
En 2022, la commune comptait 2 569 habitants[Note 11], en évolution de −1,72 % par rapport à 2016 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
L'église simultanée se trouve au centre du village dans le quartier du Hohgraben ou Hohgrawe (de l'allemand hohen Graben, grand fossé), ancien noyau historique de la commune.
Un premier édifice, dont la date de construction est inconnue, fait place à une nouvelle église citée dès 1255[45]. Elle aurait été fondée par Jacques de Lorraine, évêque de Metz l'année précédente et c'est de là aussi que viendrait l'attribution du patronat à saint Jacques le Majeur.
Dès 1530, catholiques et protestants luthériens se partageaient l'église pour célébrer les cultes. Un pasteur venait tous les dimanches de Strasbourg jusqu'en 1547 où la ville, possédant Dettwiller, imposa la religion protestante sur son territoire. Lorsqu'en 1684 Louis XIV permit aux catholiques de célébrer leur culte dans une église protestante, ceux-ci furent trop peu nombreux dans le village et dépendirent encore de la paroisse de Wilwisheim. Il fallut attendre 1692 pour que des messes catholiques fussent à nouveau célébrées à Dettwiller.
La partie supérieure du clocher de l'église servait de refuge. Incendiée en 1445 par les Armagnacs, elle fut une première fois reconstruite.
En 1783, l'église, trop petite et délabrée, dut être agrandie. Sophie Rose de Rosen, qui possédait alors le village, estima qu'il n'était pas nécessaire pour elle de participer financièrement aux travaux et refusa la modification du clocher. La communauté des paroissiens décida alors de construire un nouveau chœur et d'agrandir la nef.
Pour cela, le cimetière qui entourait alors l'église dut être déplacé. Un nouveau cimetière fut donc construit du côté de Gottesheim en 1780, le premier enterrement y eut lieu trois ans plus tard.
Cet allongement de l'église nécessita également la construction d'un mur de soutènement. Des pierres provenant de l'ancien édifice ainsi que des pierres tombales de l'ancien cimetière, sur lequel l'église empiète maintenant, furent utilisées à cet effet. La nef dut aussi être décalée par rapport à l'axe du clocher afin de rester sur un sol assez stable.
Finalement en 1785, le premier baptême put être célébré après deux ans de travaux.
Cependant, ce rehaussement de la nef empêcha la diffusion du son des cloches vers le nord-ouest. Il fut donc décidé en 1842 de rehausser le campanile. Ces derniers travaux de construction donnèrent ainsi à l'église son clocher à la forme particulière que l'on ne rencontre nulle part ailleurs dans la région.
Une croix surmontée d'une girouette en forme de coq furent ajoutées l'année suivante.
Depuis, l'église n'a subi que des travaux de rénovation intérieure, notamment en 1961-1964: suppression des parties latérales des tribunes qui étaient en forme de fer à cheval; disparition du maitre-autel, de la chaire et des autels latéraux. Le détail est consultable à :
Un nid de cigognes se trouve également à l'extrémité de la nef opposée au clocher.
Vue intérieure de la nef vers le chœur.
Statue de saint Jacques-le-Majeur (XVIIIe).
Vue intérieure de la nef vers la tribune d'orgue.
Orgue de tribune Stiehr-Mockers (1835).
Dalle funéraire de Reinhold de Rosen (XVIIe).
La synagogue
Une communauté juive est attestée dans le village dès le XVIe siècle ; une première synagogue fut construite au XVIIIe siècle. Son exiguïté et son état de délabrement conduisirent en 1833 à l'envoi de plaintes à la mairie par la communauté juive du village. Le conseil municipal accorda enfin des subventions en 1843 mais ne les versa qu'en 1854. La nouvelle synagogue, conçue par Maestlé, l'architecte-voyer de Saverne, fut construite sur l'emplacement de l'ancienne et mesure 13 m sur 9 m.
Un bain rituel était aménagé au sous-sol et la tribune accueillant les femmes a été détruite lors de la Seconde Guerre mondiale.
La synagogue n'est actuellement plus en usage, la communauté juive à Dettwiller n'étant plus assez importante.
Le monument aux morts
Un premier monument fut érigé à la suite de la Première Guerre mondiale mais fut remplacé par l'occupant lors de la Seconde Guerre mondiale. À la fin de cette dernière, un nouveau monument fut érigé le 9 novembre 1946 sur la place de l'église. Premier monument aux morts construit dans l'arrondissement de Saverne après la guerre, il fut inauguré le 18 mai 1947.
Ce monument est composé d'un socle carré sur lequel se tient la famille d'un soldat tombé au front. Un agneau symbolisant la paix se trouve sur la droite de cette famille.
Le socle ne comporte pas les noms des villageois victimes des combats mais l'inscription « À nos morts ».
Rue de la Haute-Montée.
Maison, 3 rue des Bouchers.
Rue de Strasbourg.
Les griffes du diable
Des griffes du diable sont visibles sur les montants de la porte murée se trouvant au sud de l'église. Les origines de ces rainures verticales ont suscité de nombreuses hypothèses mais toutes postulent un affutage de lames contre la pierre[46]. À Dettwiller, l'hypothèse de l'affutage d'armes par des soldats et d'outils par des tailleurs de pierres ont été écartées.
L'idée selon laquelle les tisserands affutaient leurs navettes semblent plus probable ; elle a déjà été attestée à Rosheim et Rouffach ; on retrouve également de telles marques à Pfaffenheim. Au XVIIIe siècle en effet, des familles de tisserands habitaient à côté de l'église et il n'est pas impossible qu'ils se soient servis de ses murs pour ré-affuter les pointes émoussées de leurs navettes.
Quant au fait que ce genre de marque se trouve généralement sur les murs des églises, il peut être expliqué par des idées superstitieuses ainsi que par le fait qu'au Moyen Âge les églises comptaient parmi les rares bâtiments construits en pierre.
Personnalités liées à la commune
Reinhold de Rosen (° 1604 - † 1667) – Possesseur de Dettwiller de 1652 à sa mort.
Conrad de Rosen (° 1628 - † 1715) – Possesseur de Dettwiller de 1667 à sa mort.
Maréchal Leclerc (° 1902 - † 1947) – Le soir du 22 novembre 1944, avec le colonel Rouvillois, il prépara la libération de Strasbourg dans la maison se trouvant en face de la mairie. Une rue de Dettwiller porte son nom.
Marc Rouvillois (° 1903 - † 1986), général français ayant mené la libération de Dettwiller le 22 novembre 1944 lors de la Seconde Guerre mondiale. Nommé citoyen d'honneur du village en 1946, une rue et un quartier de Dettwiller portent son nom.
Gottfried Hammann (° 1937), pasteur, théologien et historien, né à Dettwiller.
De sable à la faux d'argent, emmanchée d'or, posée en bande.
Détails
L'origine et la signification de ces armes demeurent pour l'instant inconnues.
Le blason est utilisé par la mairie sur les documents officiels.
Le texte de l'Armorial de la Généralité d'Alsace (1861) indique seulement : « La communauté des habitants de Dietwiller et d'Ossenheim porte : De sable à une faux d'argent emmanché d'or. »[49] On le trouve sur la maison Will, construite - ou du moins restaurée - à l'époque où Dettwiller dépendait de la ville de Strasbourg (entre la fin du XVe siècle et 1651). On le trouve également sur des bornes au Fallberg où le village possède une forêt.
Blason de la famille de Rosen
Blason
D’or à trois roses de gueules.
Détails
Ce blason est utilisé entre 1654 et 1788 lorsque la famille de Rosen possédait le village. Blason de la famille de Rosen.
Club Patrimoine de Dettwiller, Dettwiller Rosenwiller : Bachknippe Gèscht un Hit, t. 1, Strasbourg, Carré Blanc Éditions, , 192 p. (ISBN2-84488-083-5)
Club Patrimoine de Dettwiller, Dettwiller Rosenwiller : Bachknippe Gèscht un Hit, t. 2, Strasbourg, Carré Blanc Éditions, , 160 p. (ISBN978-2-84488-126-7 et 2-84488-126-2)
Jean-Luc Flohic, Le patrimoine des communes du Bas-Rhin, t. 2, Paris, Éditions Flohic, , 1693 p. (ISBN2-84234-055-8)
Paul Gerber, Herrenstein avec Dettwiller et Dossenheim : Histoire de la Seigneurie de Herrenstein et remarques sur son château, vol. 91-92, Saverne, Bull. Soc. Hist. Archéol. Saverne, , 52 p.
Paul Gerber, La famille de Rosen en Alsace et en Franche-Comté, vol. 103, Saverne, Bull. Soc. Hist. Archéol. Saverne, , 48 p.
Inventaire general des monuments et des richesses artistiques de la France, Bas-Rhin : Canton Saverne, Paris, Impr. Nationale, , 571 p. (ISBN2-11-080714-8)
(la) Kaspar Zeuß, Traditiones possessionesque Wizenburgenses : codices duo cum supplementis, Köhler, , 390 p. (lire en ligne)
↑« so liegt ein Kirchlein u. dann ein bruderhaus in der kleinen wiesentau ; soch Kirchlein ist S. Blasio consecriert » Document de 1540
↑Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:05 TU à partir des 690 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/11/1966 au 01/04/2024.
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑« similiter dono in zuzuzenheim marca et niuuora marca et ad daugendorp et ad bizzirichesheim et creodcheim et ad geizuuilare et ad dendunuuilare et ad scaphhuson et ad urenuuilare uinia una et ad urenheim et ad slaumareshaim. ».
↑« similiter in urenheim uel in ilenuuilare seu hittendorphe siue in dendunuuilare nec non et in matra. ».
↑« uel uuilo donatores donamus in elemosina gerbaldi in uillis cognominantibus bruningouuilare ad dendunuuilare ad seaphhusa ad matra ad meistreshaim. ».
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Charles-Edouard Perrin, « Essai sur la fortune immobilière de l'abbaye alsacienne de Marmoutier aux Xe et XIe siècles », Collection d'Études sur l'histoire du droit et des institutions en Alsace, 1935, vol. 10
↑Archives Départementales du Bas-Rhin ; série G 3131
↑Archives Départementales du Bas-Rhin ; série E 1455 et E 1459
↑Club Patrimoine ; Dettwiller Rosenwiller : Bachknippe Gèscht un Hit - Tome 1, Mémoire de vies, 2006, p. 7 (ISBN2-84488-083-5).