Dans une interview[1] en 2001, le violoniste James Ehnes répondant à la question « Comment expliquez vous que Concerto de Britten ne parvient pas à s'imposer au répertoire ? », répondait :
« Parce qu'il est trop dur. Il y a des pièges techniques extrêmement vicieux, proches de l'injouable. Et pour le violoniste, il n'est pas immédiatement gratifiant : ce n'est pas une œuvre qui fait se lever les foules. Son effet sur l'auditeur est psychologique et profond. Certains violonistes n'aiment pas consacrer tant d'efforts pour générer si peu d'enthousiasmes. »