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Étant donné que ces deux religions n'ont pas quitté, d'une façon importante et sur le très long terme, leur sphère d'influence traditionnelle, c'est-à-dire l'Inde, il est évident que les aspects de la vie sociale et religieuse des jaïns et des hindous peut paraître, aux yeux d'un occidental, assez similaires, voire, sans aucune dissemblance. Mais si l'on s'attache à comparer attentivement ces deux grands courants philosophiques, nous discernerons très vite notre erreur.
Pour conclure sur cette comparaison entre l'hindouisme et le jaïnisme, B.A. Selatore a justement écrit: « Le principe de non-violence a été, pour partie, la cause de la grande influence des Jaïns sur la culture hindoue, en matière de tolérance (et dont le Mahâtmâ Gandhî est le symbole). Quoi que l'on dise sur la rigueur avec laquelle ils ont soutenu leurs dogmes religieux, ou sur la ténacité et l'art avec lesquels ils ont défait leurs opposants, dans les débats religieux, on ne peut nier qu'ils ont encouragé le principe de tolérance, de la façon la plus sincère, et en même temps, avec plus de succès qu'aucune autre communauté en Inde » (Le Jaïnisme de Vilas Adinath Sangave).