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Après avoir étudié à l'école des Beaux-Arts de Paris et de Grenoble, il enseigne le dessin jusqu'en 1958, puis se consacre entièrement à la peinture.
Ses premières œuvres connues sont des dessins au crayon et à l'encre représentant des paysages de montagne et des portraits d'enfants. Jusqu'en 1975, il peint à l'huile des espaces marins très épurés, montrant une influence notable de Nicolas de Staël. Il crée, par la suite, des toiles de plus en plus abstraites consacrées à l'espace montagneux, dans une série intitulée "Hivers". À partir de 1980, il abandonne les couleurs à l'huile au profit d'une peinture acrylique plus rapide et transparente. Entre 1989 et 2005, à Villeneuve-lès-Avignon, Claude Garanjoud peint alors des toiles de coton non apprêtées dans des tons de gris bleuté et de blanc. Comme le décrit le peintre lui-même, ce sont des « toiles libres... vivantes »[1],[2].
En 2019, un hommage lui est rendu par le directeur du Musée Matheysin[3].