En janvier 1942, Marcel Aymé lui rend hommage en disant qu'il était « l'un des plus grands dessinateurs de notre temps et peut-être le plus grand[4] ».
Œuvre
Ouvrages illustrés
Chas Laborde a notamment illustré :
Bob et Bobette s'amusent de Francis Carco, Albin Michel, 1919 ;
Le Nègre Léonard & Maitre Jean Mullin de Pierre Mac Orlan, illustrations en couleurs gravées sur bois par Robert Dill, éditions de la Banderole, 1920 ;
Jocaste et le chat maigre d’Anatole France, La Banderole, 1921 ;
Les Innocents de Francis Carco, Renaissance du Livre , 1921 ;
L'Homme traqué de Francis Carco, illustré de 14 eaux-fortes, Librairie des Champs Élysées, 1929 ;
L'Ingénue Libertine de Colette, éditions Henri Jonquières, 1922 ;
L'Inflation Sentimentale de Pierre Mac Orlan, La Renaissance du Livre, 1923 ;
Malice Pierre Mac Orlan. Éditions Henri Jonquières, 1924 ;
Claudine en Ménage. Colette. Éditions Henri Jonquières, 1924 ;
Bubu de Montparnasse. Charles Louis Philippe. Éditions Kra, 1924, lire en ligne sur Gallica ;
Rues et Visages de Berlin. Jean Giraudoux. Éditions de la Roseraie, 1930, lire en ligne sur Gallica ;
Maria Lani. Éditions Quatre Chemins, 1929. 51 Planches dont une de Chas Laborde avec Bonnard, Braque, Chagall, Chirico, Derain, Foujita, Matisse ;
D'Ariane à Zoe. Alphabet galant et sentimental... par 26 écrivains et autant d'artistes 1930. Textes de Valry Larbaud, Giraudoux, Paul Morand, Colette, Mauriac, Paul Valery...) Dessins de Raoul Dufy, Marie Laurencin, Daragnes, Chas Laborde ;
Mon amie Nane Paul-Jean Toulet. Éditions du Nord, 1930 ;
Histoire de la bienheureuse Raton, fille de joie. Fernand Fleuret. Éditions Mornay, 1931, lire en ligne sur Gallica ;
La Porte Ouverte. Chas Laborde. Éditions Henri Jonquières, 1931 ;
Les Civilises. Claude Farrère. Atelier du Livre, 1932 ;
Œuvres Complètes illustrées de Guy de Maupassant. Librairie de France. Tomes VII et X, 1934-1935 ;
La Naïade. Fernand Fleuret. Éditions Laboratoires Reaubourg, 1935 ;
École de Patience, préface de Mac Orlan et présentation de Guy Laborde. La première guerre mondiale vue et dessinée par Chas Laborde. Éd. La Voile Latine, 1951.
Notes et références
↑« Oloron : des oeuvres rares de l’illustrateur Chas Laborde à la médiathèque », La République des Pyrénées, (lire en ligne).