Il l'assiste dans ses luttes contre la reine mère Marie de Médicis, contre les nobles qui conspiraient contre Richelieu et contre les calvinistes français.
Il est exilé en 1630 pour avoir soutenu Marie de Médicis lors de l'affaire de la Journée des Dupes.
Rentré en grâce à la mort de Louis XIII, il obtient le gouvernement de la Picardie en plus de celui de la Normandie[1].
En 1649, le duc d'Elbeuf offre ses services aux Parisiens pendant la Fronde. Déclaré général de l'armée du roi, sous l'autorité du Parlement, il n'est qu'un des lieutenants du prince de Conti, reconnu pour généralissime par le Parlement.
À la suite de l'amnistie générale accordée par la Cour (paix de Saint-Germain du ), Mazarin revient à Paris, le .
En 1652 le duc d'Elbeuf commande encore en chef l'armée de Flandre ; mais, ensuite, ne sert plus.
En 1654, il participe à la cérémonie du sacre du roi Louis XIV, à Reims. Il meurt à Paris, le et est inhumé dans la collégiale de La Saussaye.