Jeune, il suit une brève formation dans le domaine artistique notamment au sein des Ecoles Académiques de la ville de Lille[3], ancêtre de l'école des Beaux-Arts de cette même ville. Puis, il se perfectionne en autodidacte tout en travaillant dans l'atelier de menuiserie familial[4]. Il excelle rapidement en sculpture et en ébénisterie.
En 1845, il prend la direction de l'atelier lillois de son père[5], lui donne une tournure plus artistique et le développe considérablement. La production de son entreprise , marqué par l'essor du néogothique, est abondante et de qualité. Ses œuvres, mobilier et sculptures destinés aux églises, sont présentent dans le monde entier mais particulièrement dans le Nord de la France[6]. Il travaille notamment sur les chantiers de l'architecte lillois Charles Leroy.
Il meurt en 1893[7]. Son fils Edouard, déjà précédemment associé à son père, reprend la société.
Biographie
Les Buisine et l'atelier familial de menuiserie.
Charles-Alexis-François Buisine naît le 17 juillet 1820 à Lille au sein d'une famille catholique pieuse et royaliste[8]. Il est le fils de Désiré Buisine, maître-menuisier, et de Catherine Lavaine[9].
Au moment de sa naissance, le grand-père de Charles, Jean-François, est le doyen de la corporation des maître-menuisiers de la ville de Lille. Il dirige l'atelier lillois de menuiserie qui se transmet de père en fils depuis 1676[10]. Au fil des générations, l'atelier avait pris une tournure de plus en plus artistique[11] et le père de Charles, Désiré, avait notamment réalisé une clôture de chapelle et une clôture de fonts baptismaux ouvragées pour l'église Saint-André[12].
La famille Buisine est pieuse[13] et le père comme le grand-père de Charles sont membres de la Confrérie du Saint-Sacrement[14],[15].
En 1821, Désiré hérite de l'atelier de son père[9] et le destin du petit Charles semble déjà tout tracé : travailler comme ouvrier-menuisier pour son père puis reprendre un jour son atelier.
Généalogie de la famille Buisine d'après Edmond Huard
Désiré Buisine, père de Charles
Clôture de chapelle par Désiré Buisine dans l'église Saint-André de Lille
Des études et un apprentissage difficile
Premières écoles
Le jeune Charles est d'abord placé par ses parents sous la direction des Frères de la doctrine chrétienne[16]. Si son premier maître semble comprendre la nature un peu "rude" de son élève et parvint à la canaliser, le second le maltraite et lui inflige des fréquentes corrections avec sa férule (ancêtre de la règle avec laquelle les instituteurs corrigeaient les élèves)[16]. Les parents décident donc de retirer leur enfant pour le placer dans une autre école dirigée par un certain Monsieur Buisine, un homonyme habitant le quartier[16]. Une fois parvenu à un âge avancé, alors qu'il compose ses mémoires, Charles se souvient : "On ne s'y trouvait pas très bien mais il n'y était pas question de férule"[16]. Le petit Buisine arrête ses études généralistes après sa première communion[3].
Les écoles académiques de Lille (future école des Beaux-Arts)
Afin de le préparer à son futur métier de menuisier, ses parents l'inscrivent aux Ecoles Académiques de la ville de Lille[3], ancêtre de l'école des Beaux-Arts de cette même ville. Malheureusement, Charles ne semble pas y trouver sa place[3]. Les méthodes d'enseignement de son professeur ne lui conviennent pas et passer des "leçons entières sur un œil, sur un nez" l'ennuie[3]. Il souhaiterait avancer plus vite[3]. De plus, catholique pieux et royaliste, il est victime des moqueries et brimades de ses camarades dont la moralité lui paraît douteuse[17]. A nouveau, ses parents décident de le retirer de l'école et, le jugeant assez âgé, le placent comme ouvrier dans l'atelier familial[17].
Ouvrier dans l'atelier familial
D'après son biographe, Edmond Huard, les premières années de Charles dans l'atelier ne sont "pas très brillantes"[17]. Il apprend facilement l'art de la menuiserie mais s'ennuie de la monotonie de l'atelier[18]. Il prend plaisir à en sortir pour aller sur les chantiers avec les ouvriers[18].
A la même période, il prend des cours de violon auprès d'un certain Monsieur Noguerre[18]. Il apprend rapidement à jouer de cet instrument puis participe à des animations de soirées familiales[18]. Sa mère, voyant que son travail dans l'atelier pouvait pâtir de ses sorties et de ses distractions, lui interdit de continuer d'en jouer[4]. Bon gré, mal gré, il se consacre pleinement à la menuiserie et surtout à la sculpture[4].
Un brillant autodidacte
Il reprend son apprentissage en autodidacte[4]. Dans ses moments de loisir, il se perfectionne en dessin et se met sérieusement à la sculpture[4]. Il prend l'empreintes de belles sculptures de porte qu'il cherche ensuite à reproduire[4]. Ses parents voyant ses efforts songent un temps à lui faire reprendre ses études auprès d'un bon sculpteur[4] mais ceux-ci abandonnent face au coût d'un tel enseignement[19]. Cela ne décourage aucunement Charles qui continue de travailler dur en autodidacte[19].
En 1840, à 20 ans, son père lui confie la gestion d'un projet consistant en la création de deux autels pour une église de village[19]. Les parties les plus simples sont confiées à un menuisier local tandis que les parties artistiques sont confiées à M.Buisine[19]. Charles et deux ouvriers sont envoyés sur place pour exécuter le travail[19]. Jour après jour, il note les coûts et toutes les dépenses[19]. Néanmoins, à la fin du chantier, en calculant les bénéfices, il se rend compte que son père est en perte de 100 francs[20]. A partir de ce jour, il devient très vigilant sur les dépenses et les prix de revient[20].
La maturité (1841-1843)
Charles est désormais un homme mûr aussi bien artistiquement que psychologiquement. Il s'éprend un temps d'une femme mais ses parents s'opposent à cette relation naissante[20].
Vers 1842, il réalise les sculptures décoratives du Café français à Lille grâce à son cousin Stalars[21] qui obtient le marché de sa décoration[22]. L'œuvre terminée, la critique est très positive et les journaux rendent hommage à son talent[22]. Les commandes se mettent alors à affluer[22]. Cette même année 1842, il fournit les sculptures de la chaire de l'ancienne église de Wazemmes puis, en 1843, les parties sculptées en pierre de la chapelle du Lazaro[23].
Charles songe alors à fonder une famille[22]. Son cœur s'éprend de Palmyre Rigot (1825-1887), fille de Nicolas Rigot, prospère patron d'une brasserie d'hydromel [24]. Il se marie le 30 janvier 1844 [25] en l'église Sainte-Catherine de Lille. Par la suite, il ajoute le patronyme de son épouse au sien et se fait appeler Buisine-Rigot.
Charles et Palmyre sont profondément épris l'un de l'autre et cet amour durera toute la vie de Charles[26]. Ensemble, ils ont douze enfants dont les naissances s'échelonnent de 1844 à 1870[26],[27].
Charles à la tête de la prospère entreprise familiale (1845-1875)
En 1845, Charles prend la direction de l'atelier de menuiserie de son père Désiré Buisine (1793-1881)[5]. A une époque indéterminée, il procède à un agrandissement par l'achat de propriétés voisines[28].
Dans ces locaux, les grands travaux peuvent être montés sous des lanterneaux (baies vitrées ouvrantes) élevés à la hauteur des voûtes d'église[28]. Le bureau du patron domine l'espace et permet de voir l'ensemble des ouvriers d'un seul regard[28]. Ces derniers sont, au maximum, 80[28].
Le succès d'abord régional devient national. Edmond Huard, biographe de Charles, mentionne des œuvres dans les villes françaises suivantes [6]:
Enfin, sa réussite est mondiale avec des œuvres présentes sur tout les continents [6]:
« Citons en Angleterre : Londres, Glascow, Leeds, Manchester, Liverpool, Limerick, etc.
En Chine, plusieurs églises à Shang-Haï.
En Afrique, ce sont des travaux considérables à l'Ile Bourbon et à Durban (Cap). »
Si tout va bien au point de vue professionnel, Charles vit une première épreuve dans la mort de sa fille bien-aimée, Louise, le 26 janvier 1877[29]. Mariée en 1870, elle était tombé malade suite à sa première grossesse et était devenu infirme suite à la deuxième[30].
L'apogée (1875-1885)
La fin des années 1870 et le début des années 1880 marque l'apogée de la carrière de Charles Buisine-Rigot.
En décembre 1877, il livre pour sa paroisse Sainte Catherine de Lille, un important ensemble de 60 stalles réalisées d'après les plans de l'architecte de Tourcoing Maillard-Desurmont[31],[32]. Elles sont établies sur deux niveaux (stalles hautes et stalles basses) et présentent 72 figures de saints. Parmi ces saints figurent des docteurs de l'Eglise, des fondateurs d'ordre religieux, des saints de France et des saints de la région. Cette œuvre monumentale parachève la longue liste de travaux de Charles pour cette église Sainte-Catherine pour laquelle son père avait déjà travaillé (cf. partie "Œuvres" de cet article)
En 1878, l'entreprise participe à l'Exposition Universelle de Paris et gagne une médaille d'or[33]. A la même époque, il remporte le marché pour la fourniture de la chaire de la cathédrale d'Arequipa, et ce, face à d'autres concurrents basés en Espagne, Italie, Belgique, Royaume-Uni. Elle nécessite 15 mois de travail et est acheté au prix de 25 000 francs. C'est une réussite esthétique incontestable. L'œuvre est encore célèbre aujourd'hui dans la région d'Aréquipa en raison du diable représenté dans la partie basse[34]. C'est un monstre semblant sortir des entrailles de la terre, à la queue de dragon, aux ailes de chauves souris et à la partie haute humaine. Son visage exprime la folie . Sa queue couverte d'écailles s'enroule autour de la colonne soutenant la cuve tandis que, poing levé dans un geste désespéré, il semble adresser sa colère à Dieu. La chaire est livrée en 1879[35] et est bénite le 1er janvier 1880.
Chaire de la Cathédrale d'Arequipa
La notabilité de Charles lui permet également de jouer un rôle politique, certes minime, mais remarqué par la presse de l'époque. Pour appuyer la cause royaliste et sensibiliser l'opinion, il organise des grands banquets en 1879 et 1880 dans ses ateliers[36].
Malheureusement, la joie de cette reconnaissance est vite ternie. Le 17 juillet 1881, le père de Charles, que celui-ci avait recueilli chez lui, décède[38]. Désiré était devenu le pilier de la famille et s'occupait des enfants[39]. Toute la maisonnée en est donc profondément affectée.
En 1885, Charles effectue un pèlerinage à Rome et visite les monuments antiques et les églises. Il est très impressionné par ce qu'il voit. Il écrit "Quelle ville extraordinaire ! quelle splendeur, quelle richesse !". Tout en admirant la qualité artistique et la richesse des œuvres païennes, il admire la "puissance" des martyrs chrétiens qui ont renversé l'ordre païen[40]. Au cours de ce pèlerinage, il rencontre le pape Léon XIII en personne mais manque de défaillir quand il doit lui embrasser les mains : "J'ai éprouvé une émotion tellement vive qu'en me relevant, j'ai failli tomber"[41].
Le temps des épreuves (1887-1893)
Mort de Palmyre (1887)
Au début de l'année 1887, l'état de sa femme, souffrante depuis plusieurs années, se dégrade rapidement. Elle reçoit les derniers sacrements. Alors que son état semblait s'améliorer, elle meurt le dimanche 27 mars [42] au moment où Charles assiste à la messe dominicale. Pour lui, c'est un choc immense dont la douleur subsistera jusqu'à la fin de sa vie.
Il délaisse alors un peu ses affaires et s'appuient sur ses deux fils, Edouard et Charles Prosper, pour faire tourner l'entreprise. Fidèle à sa foi catholique, il prie beaucoup et pratique l'aumône[43] pour le repos de l'âme de son épouse. Pour le réconforter, sa famille, ses amis et des ecclésiastiques lui écrivent[44] mais rien n'y fait, sa peine est immense.
Mort du fils ainé (1888)
Malheureusement, le malheur continue de s'abattre sur Charles. Le 27 février 1888, son fils ainé, Charles-Prosper meurt des suites d'une pleurésie contractée des années auparavant[45].
Désormais seul chez lui, il passe son temps à peindre des fleurs à l'aquarelle, peintures qu'il offre à des amis ou à de la famille[46]. Il réalise également des portraits de son épouse et de lui-même qu'il donne à ses enfants[46].
Grand incendie des ateliers (1890)
Le 5 mars 1890[47], un incendie éclate dans son atelier. Le brasier dévient rapidement virulent et les secours appelés en urgence arrivent vers midi[47]. Charles participe à la lutte contre l'incendie et parvient à sauver une partie des dessins[48].
Après l'incendie, les locaux sont rebâtis avec plus d'unité et modernisés[49]. Une machine à vapeur est installée [49]. Néanmoins, la joie de cette réouverture est de courte durée car une autre fille de Charles décède de maladie, Marie, le 21 Août 1890[50].
Fin de vie et décès (1893)
Quelque temps plus tard, il tombe malade d'une mystérieuse maladie et subit plusieurs traitements sans résultats. Il trouve néanmoins consolation dans la foi et dans l'amour de ses enfants[51].
Il meurt le 2 mai 1893 à Lille[7], pieusement, à l'âge de 72 ans. Ses funérailles attirent des gens de tous horizons dont de nombreux ecclésiastiques[52]. Il est enterré au cimetière de l'Est et repose aujourd'hui avec sa femme Palmyre dans une tombe au nom de son fils Edouard et de sa belle fille[24] Hélène Courtois.
Charles Buisine incarne l'idéal bourgeois catholique de la fin du XIXème siècle, celui d'un homme ayant prospéré grâce à son travail et son talent, bon père de famille, charitable et bon chrétien[54].
Caractère et apparence
Buisine est un homme à l'esprit fort et indépendant. Talentueux, peut être surdoué dans son enfance, il se révèle un brillant autodidacte. Une fois adulte, son apparence un peu rude[55] le fait ressembler à un soldat. Il aime vivre simplement, ne boit pas et se nourrit frugalement[56]. S'il ne souhaite aucun luxe dans ses vêtements, il aime néanmoins qu'ils soient parfaitement propres[57]. Il est aussi très ordonné dans son quotidien[57]. Il se déplace avec une canne de jonc et ne tolère aucun parapluie[56]. Un de ses plaisirs est de fumer sa pipe en terre grise[56] qui, si elle se brise, est remplacée automatiquement par une identique.
Néanmoins derrière cette apparence un peu rude, il s'avère être un homme raffiné, sensible voir émotif[58]. Profondément amoureux de sa femme, il n'a pas de plus grand bonheur que d'être avec elle et avec ses nombreux enfants[59]. Accordant beaucoup d'importance aux valeurs familiales[59], il s'occupe de son père dans son grand âge et de sa sœur non mariée en les accueillant à son domicile[57].
Malgré son apparence un peu rude, ses ouvriers l'apprécient[55].
Religion
Catholique pieux[60], il assiste régulièrement aux offices religieux avec sa famille[61] et prie régulièrement au cours de sa journée de travail[60]. A Lille, il avait l'habitude de se découvrir et de réciter un Ave Maria quand il passait devant une statue de la Vierge Marie[60].
Sociable, il est membre, comme toute sa famille, de la société de Saint Joseph[62]. Cette société fondée par Edouard Lefort en 1836 regroupe des jeunes de toutes conditions. Il s'agit d'un des premiers patronages catholiques où les gens se rassemblent pour se divertir.
Royaliste comme tout les membres de sa famille, il rencontre en 1848 le Comte de Chambord à Wiesbaden pour lui présenter ses hommages[64]. Après la guerre de 1870, il est même un des "membres les plus ardents du parti légitimiste de Lille"[65]. Il organise des banquets en 1879 et 1880 dans ses ateliers destinés à sensibiliser l'opinion à la cause royaliste[36]. Quelques temps après la guerre, il se présente également comme candidat royaliste au Conseil municipal du faubourg Saint-Maurice mais il n'est pas élu[66].
Bien que fortement opposé aux idées républicaines et ayant même été arrêté brièvement pour avoir osé crier " A bas la république !"[67], il finit par accepter cette dernière suite au ralliement de Léon XIII[67].
Elèves et apprentis
Charles Buisine-Rigot a formé au cours de sa carrière plusieurs apprentis dans ses ateliers :
Gustave Pattein, ébéniste, sculpteur, fondateur de l'entreprise portant son nom à Hazebrouck et spécialisé dans l'ameublement d'église et la statuaire religieuse. Il est présent dans les ateliers vers 1872[68].
Léopold Lefebvre, sculpteur, fondateur des ateliers Lefebvre-Lenclos de Beuvry et spécialisé dans l'ameublement d'église et la statuaire religieuse.
Albert Darcq (1848-1895), sculpteur, présent dans l'atelier vers 1866[69].
Charles van de Poele (1846-1892), fils d'un fabricant de meubles, il est présent dans l'atelier vers 1865[70]. Il s'intéresse à l'électricité très tôt et déménage aux Etats-Unis en 1869. Van Depoele dépose 249 brevets dont celui sur le chemin de fer électrique en 1883 et surtout le tramway électrique en 1890.
Descendance
Son fils, Édouard Buisine (1856-1935), reprend les Ateliers Buisine[53] et les établis au nord de Paris.
Sa fille, Thérèse Buisine (1849-1922), se marie avec un certain Régis Héaulme en 1874. Ensemble, ils reprennent un commerce lillois de broderie et d'ornements d'église[71]. La société appelée "Héaulme-Buisine" se transmet dans la famille sur plusieurs générations et ferme finalement ses portes entre 1975 et 1978[72].
Distinction et récompenses
1863 : Médaille de vermeil décernée par la Société des Sciences, de l'Agriculture et des Arts de Lille[73].
1866 : Médaille d'or décernée par la Société des Sciences, de l'Agriculture et des Arts de Lille[74].
L'entreprise Buisine-Rigot travaille surtout le bois mais aussi la pierre et le marbre[5]. Signe des temps, les œuvres de Buisine sont très souvent de style néogothique, surtout à partir de 1850. Il s'agit majoritairement d'éléments de mobilier liturgique : autels avec retables, chaires de vérité, banc de communions, stalles, statues dévotionnelles et décoratives...
Buisine travaille régulièrement avec des architectes et réalisent leurs dessins ou les siens. Il collabore notamment avec l'architecte néogothique lillois Charles Leroy[75].
Malheureusement, au XXème siècle, les guerres, les nouveaux aménagements liturgiques et les changements de goût ont parfois entraînés la disparition des œuvres ou affecté le sens et les qualités esthétiques de ces dernières (remise en peinture, suppression et déplacement d'éléments...).
ensemble du maître-autel (autel composite, degré et gradin d'autel, retable architecturé à niche, tabernacle architecturé à dais d'exposition, statues)[87] (1888)
ensemble des autels secondaires de la Vierge et du Christ du Sacré-Cœur (autels composites, degrés et gradins d'autel, retables architecturés à niche, tabernacles, hauts-reliefs)[88](1888)
Chaire de la basilique Notre-Dame-de-l'Immaculée-Conception de Boulogne-Sur-Mer
vue depuis la nef
vue depuis la nef latérale
Saint Pierre
Carly, église Saint-Martin : 3 autels, banc de chœur, chaire à prêcher, confessionnal, fauteuil de célébrant, 2 retables, tribune (à partir de 1890)[94]. La chaire est livrée en 1897 par Edouard, le fils de Charles, donc cette commande s'est échelonné entre l'ère du père et celle du fils.
Confessionaux, orgue et stalles de la Basilique Notre-Dame-des-Enfants
Douvrin, église du Sacré-Coeur : Chaire (1881, restaurée en 1936)[95]. Elle repose sur le même démon que la chaire d'Arequipa.
Lille, église Sainte-Catherine[96] : Restaurations : banc d'œuvre (vers 1860). Créations : statues de Saint Pierre et Saint Paul placées dans des niches ouvragées (1855), cloisons séparant le chœur des chapelles latérales (vers 1857), boiserie du chœur (vers 1860), de la nef (vers 1870), autel et statues de la chapelle de Notre Dame de Lourdes (1873), stalles[32] représentant les évêques de Cambrai, les fondateurs des ordres religieux et des saints régionaux (1877). Il convient aussi d'ajouter à cette liste les boiseries de la chapelle du Sacré-Cœur par analogie avec celle de Notre-Dame-de-Lourdes.
Marcq-en-Barœul, grande chapelle du collège de Marcq : ensemble réalisé en 1884[105] comprenant un maître-autel, un retable, un tabernacle, des stalles et un banc de communion. Il ne reste de cet ensemble que l'autel, les stalles, la façade du tabernacle et la statue de la Vierge à l'enfant. Buisine avait également conçu les dessins exécutés pour le pavage en céramique de Creil dont les carreaux alternaient dans le sanctuaire avec des marbres diversement colorés (1870)[105].
Œuvres pour la grande chapelle du collège de Marcq
maître-autel
maître-autel (détail : la prophétesse Anne)
maître-autel (détail : la présentation au temple)
façade du tabernacle
Statue de la Vierge à l'enfant
Mayet, église Notre Dame de l'Immaculée Conception : chaire et confessionnaux. Signature "Buisine et fils. Sculpteurs à Lille". (date inconnue mais construction de l'église entre 1860 et 1880 y compris les décors intérieurs)[106]
Sculptures du retable de l'autel de l'église Saint-Sever de Rouen
Notre-Dame de Bonne Nouvelle
Notre-Dame de Bonne Nouvelle (détail)
Translation des reliques de Saint-Sever
Translation des reliques de Saint-Sever (détail)
Saint-Omer, église de l'Immaculée-Conception : maître-autel[108] (vers 1860), autel de la Vierge[109],[110](vers 1860), autel de Saint Joseph[111],[112](vers 1860), chaire de vérité[113] (vers 1860-1879), stalles[114],[115](entre 1870 et 1879). La chaire est modifiée après le concile Vatican II et les éléments constitutifs sont dispersés dans l'église : les reliefs de la cuve forme le tombeau du nouvel autel, la cuve est dans l'oratoire nord, l'abat-voix dans la chapelle des fonts. L'escalier a disparu. L'incendie de 2024 laisse planer un doute sur la survie de plusieurs de ces éléments.
Saint-Omer, chapelle du collège Saint-Bertin : 4 statues surplombant le chœur[116],[117] (Saint Bertin, Vierge à l'enfant, Saint Joseph, Saint Ignace de Loyola). La Vierge à l'enfant est similaire à celle surmontant l'autel de l'église Notre-Dame de Fives.
Statues surplombant le chœur de la chapelle du collège Saint-Bertin de Saint-Omer
Sars-et-Rosières, église de l'Immaculée-Conception[119] : autel, tabernacle et retable en bois de sapin et tilleul "dans le style gothique du 13e siècle" (ensemble disparu)
↑ abcde et fAbbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p. (lire en ligne), p. 12
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↑Probablement Charles Prosper Stalars (1808-1876), peintre décorateur. Il est le frère de Justine Stalars, la femme de son beau-frère Prosper François Rigot.
↑ abc et dAbbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p. (lire en ligne), p. 18
↑Hippolyte Verly, Essai de biographie lilloise contemporaine, 1800-1869 : augmenté d'un supplément et accompagné de notes historiques et bibliographiques, Lille, Leleu, libraire, 11 rue du curé Saint-Etienne, , 250 p. (lire en ligne), p. 31
↑ a et bAnne Hadoux-Decroo, Guide du cimetière de l'Est, Nord'Imprim, , 246 p. (ISBN979-10-415-4198-0), p. 40
↑Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p. (lire en ligne), p. 19
↑ a et bAbbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p. (lire en ligne), p. 21-27
↑Edmond Eugène Joseph HUARD, né le 23 juillet 1848, prêtre en 1880, curé de Dorignies 1888, Vice-Doyen, Curé d'Anzin 1892, Doyen de Saint-Jacques de Douai le 17 janvier 1897, Français : Généalogie de Philippe Buisine d'après l'abbé Edmond Huard, (lire en ligne)
↑ abc et dAbbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p. (lire en ligne), p. 29
↑Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p. (lire en ligne), p. 97
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↑Une autre chaire de Buisine possède ce démon. Il s'agit de celle de l'église de Douvrin (Pas de Calais).
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