Très sensibilisé à la transmission aux nouvelles générations, il co-écrit avec Elie Pécaut L'art : simples entretiens à l'usage de la jeunesse[4]. Cet ouvrage, primé par l’Académie française en 1890, a été réédité plusieurs fois et utilisé dans les écoles publiques pendant plus de 40 ans[2].
Le fonds d'atelier de Charles Baude comprend l'ensemble de ses bois originaux et les catalogues correspondants, soit plus de huit cents tableaux de nombreux peintres anciens et contemporains gravés par Baude et son atelier. A la fin des années 1940, Jean-Paul Vibert (1906-2001), maître imprimeur à Grosrouvre, en fait l'acquisition, ce qui permet de le faire connaître aujourd'hui[2].
Autour d'une partition, d'après Albert Aublet, parue dans Le Théâtre en 1889.
Le Kiosque des diamants de la couronne, dans la galerie d'Iéna, de l'Exposition universelle de 1878 (1879), publiée dans Simon de Vandière, L'Exposition universelle de 1878 illustrée, Paris, Calmann Lévy, 1879.
En 2015, la Ville de Montfort organise une rétrospective de l'œuvre de Charles Baude appelée « Hommage à Charles Baude, un graveur virtuose à Montfort »[2].
La John D. Rockefeller Jr. Library(en) possède également quelques estampes de Charles Baude, comme celle de l'Exposition de la manufacture de Sèvres, dans la galerie d'Iéna[9].
« Charles Baude, un graveur virtuose » dans Art et Métiers du Livre, no 311, p. 8.
« À l’occasion du 80e anniversaire de la mort de Charles Baude à Montfort-l’Amaury, la Maison du Tourisme et du Patrimoine propose une exposition consacrée à son œuvre : des gravures reproduisant des tableaux. »
Armand Boutillier du Retail, Recueil. Dossiers biographiques Boutillier du Retail. Documentation sur Charles Baude, Paris : E. Flammarion (de L'illustration et Larousse mensuel), 1897-1936 (BNF41168089).
S. de Vandières, L'Exposition Universelle de 1878 illustrée: quatre-vingt-sept belles gravures sur bois, Calmann Lévy, 1878 (voir gravures sur Wikimedia Commons).