Elle appartient à la maison d'Álvarez de Toledo, étant descendante, par ligne agnatique, de Fadrique Álvarez de Toledo y Enríquez, 2e duc d'Alba de Tormes, 2e marquis de Coria, 2e comte de Salvatierra de Tormes, premier comte de Piedrahita, 6e seigneur de Valdecorneja, grand d'Espagne, qui accompagna le roi Charles Quint dans les campagnes de Flandre, d'Allemagne et d'Italie et des ducs de Bivona[3].
Par ligne cognatique, elle descend de l'un des présents lors de la fondation de la ville de Córdoba le 6 juillet 1572, Blas de Peralta et également du fondateur de la ville de Mar del Plata, Patricio Peralta Ramos, et de Francisco Bernabé Madero, fondateur de la ville de Maipú[3].
En 2000, elle rejoint la rédaction du quotidien El Mundo. Elle intervient aussi dans l'émission de radio de Federico Jiménez Losantos sur la chaîne COPE.
En 2008, elle devient députée du Parlement espagnol. Elle renouvelle son mandat lors des élections de 2011[5]. Elle hérite en 2013 du titre de son père à la mort de celui-ci[6].
En 2015, elle annonce qu'elle ne souhaite pas se présenter aux élections en raison de désaccords avec la politique de Mariano Rajoy[7].
Elle reprend sa carrière de journaliste au quotidien El Mundo.
Le 8 mars 2018, elle critique dans un article d'opinion la grève féministe qui a lieu le même jour[8].
Politics and Reform in Spain and Viceregal Mexico: The Life and Thought of Juan De Palafox 1600-1659, Oxford University Press, 2004.
Juan de Palafox: Obispo y Virrey, Centro de Estudios Europa Hispánica / Marcial Pons, Ediciones de Historia, Madrid, (préface de John Elliott; traduction de M. Bacells et J. C. Bayo), 2011.