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Ce moteur monobloc(en) mythique de la marque, est divisé en deux blocs de quatre cylindres (de Type 13[2]) montés sur un carter commun en aluminium, coulé d’une pièce, surmonté d’une culasse intégrée de 24 soupapes (trois soupapes par cylindres : deux soupapes d’admission et une d’échappement) avec arbre à cames en tête et double carburateurs Zenith. Sa cylindrée d'origine est réduite de 3 à 2 L pour la réglementation des versions Bugatti Type 29 du Grand Prix automobile de France 1922, où quatre modèles sont engagés[3],[4],[5],[6].
Elle est commercialisée avec succès en divers versions routières torpédo sport (déclinés du prototype Bugatti Type 28 précédent) avec des moteurs 2 L de Grand Prix bridés à 75 ch.
Palmarès partiel
La Bugatti Type 30 est déclinée en Bugatti Type 29 de 100 ch (à 7 exemplaires, avec des carrosseries en formes de cigare) pour participer entre autres aux compétitions internationales suivantes :
Les Bugatti Type 32 lui succède en 1923, suivies des Bugatti Type 35 en 1924 (avec des évolutions de ce même moteur, pour un palmarès record mythique historique de plus de 2000 victoires internationales en compétition).