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Cette période vit des changements fondamentaux dans la nature du réseau du chemin de fer ; la traction à vapeur fut éliminée en faveur de celles diésel et électrique ; le fret perdit sa prépondérance au profit du transport des passagers et le réseau fut sévèrement rationalisé notamment au milieu des années 1960, avec la fermeture de nombreuses lignes rurales.
Histoire
Le réseau s'est construit au début par la juxtaposition de lignes locales, exploitées par de petites entreprises privées, par exemple :
Middleton Railway, première compagnie de chemin de fer, fondée en 1758.
Swansea and Mumbles Railway, compagnie fondée en 1804, première compagnie ayant transporté des passagers payants en 1807.
Au cours du XIXe siècle, et au début du XXe, elles ont subi un mouvement de concentration par rachats successifs, jusqu'à se réduire à une poignée de grosses compagnies.
Le service était capable du meilleur comme les formidables vapeurs dont la Mallard qui a toujours le record à plus de 200 km/h, et plus tard des diesel très véloces, mais était très handicapé par le maintien de normes périmées comme le gabarit.
La réforme des chemins de fer qui a abouti à la privatisation des BR a été lancée sous le gouvernement de John Major. L'objectif était double : mettre fin au gouffre financier que représentait les BR pour l'État, et améliorer la qualité du service rendu aux voyageurs. Néanmoins, la qualité de service n'a pas été améliorée et de plus une étude prouve que le coût des billets de train ont légèrement augmenté depuis la privatisation[2].