À ses débuts, en amateur sous la direction de Robert Oubron, il participe à la Course de la Paix en 1966, qu'il est le premier Français à remporter après s'être adjugé la troisième étape contre-la-montre. Seul Jean-Pierre Danguillaume renouvellera cet exploit, en 1969.
Pour ses qualités de rouleur, on le comparait déjà à Jacques Anquetil, car il termina derrière Felice Gimondi lors de son premier Grand Prix des Nations, en 1967, à moins de 22 ans. Malgré quelques places d'honneur, la suite de sa carrière ne sera pas à la hauteur de ces promesses.
Son frère Claude a également été cycliste professionnel, de 1967 à 1970, dans l'équipe cycliste Pelforth Sauvage-Lejeune[3]. Leur dernier frère Serge, fut un excellent coureur cycliste à l'US Créteil.
Leur oncle Fernand Etter a été professionnel de 1965 à 1969.