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Sources : INS, Rem. : 1831 jusqu'en 1970 = recensements, 1976 = nombre d'habitants au 31 décembre.
En 1888, le général Henri Alexis Brialmont construisit à Barchon-même le fort de Barchon qui fera partie de la ceinture fortifiée, ceinture constituée de forts autour de la ville de Liège.
Les vestiges du fort sont toujours visibles aujourd'hui. Celui-ci reste un lieu de promenade et de visite. Certaines activités comme l'escalade et des brocantes y sont parfois organisées.
Le , le 85e RI de l'armée impériale allemande passa 32 civils par les armes et détruisit 110 maisons lors des atrocités allemandes commises au début de l'invasion[2].
La jeunesse barchonnaise organise traditionnellement la fête du village lors du week-end de la Pentecôte.
Références
↑Jean Germain, Les Noms officiels des communes de Wallonie, de Bruxelles-Capitale et de la Communauté germanophone : Évolution et fixation orthographique des toponymes majeures de 1795 à nos jours avec indication de la prononciation française (API), de la forme régionale wallonne et du gentilé, Louvain-Paris, Peeters, coll. « Mémoires de la Commission royale de toponymie et de dialectologie. Section wallonne » (no 27), , 410 p. (ISBN978-9-042944-01-5), p. 49.
↑John Horne et Alan Kramer, 1914 Les atrocités allemandes, Tallandier, , 640 p. (ISBN2-84734-235-4), p. 478