Francis Marmande rappelle dans Le Monde : « pas mal de spectacles taurins, de Roubaix à Arles en passant par Le Havre, se donnaient en France[2] ».
En 1868, Le Havre accueille l’Exposition Maritime Internationale. Un cirque en bois (appelé Coliseo de los toros) est construit, à l’angle de la rue Neuve-Corneille (devenue rue Frédéric-Lemaître) et du boulevard François Ier. La « temporada » du Havre, commence le dimanche et tous les dimanches, des combats de taureaux se déroulent devant de nombreux spectateurs, dont Alexandre Dumas qui en fait la chronique, jusqu’au [3],[4].