Certaines espèces d'Apios présentent un intérêt médicinal et surtout alimentaire en raison de la production de chapelets de tubercules comestibles bien développés, et parfois de haricots comestibles[1].
Les deux espèces nord-américaines (Apios americana et Apios priceana) sont génétiquement plus étroitement liées entre elles que ne le sont l'une ou l'autre des espèces asiatiques. Leurs populations ancestrales pourraient avoir migré d'Asie à la fin du Miocène et au début du Pliocène via le détroit de Béring[1].
Notes et références
↑ abc et d(en) Jianhua Li, Jinhuo Jiang, Holly Vander Stel et Austin Homkes, « Phylogenetics and Biogeography of Apios (Fabaceae) Inferred from Sequences of Nuclear and Plastid Genes », International Journal of Plant Sciences, vol. 175, no 7, , p. 764–780 (ISSN1058-5893 et 1537-5315, DOI10.1086/676972, lire en ligne, consulté le )