En 2007, après avoir appris le quechua à l'Inalco, Anne Sibran part habiter quelques années en Équateur, où elle vit encore une partie de l’année. Elle y travaille avec les chercheurs de l’Université andine Simón Bolívar de Quito et l’Université San Francisco de Cumbaya, sur le thème des peuples premiers et de la protection de la forêt première du Parc national Yasuni, où vivent les derniers chasseurs-cueilleurs du pays[1]. Depuis, elle écrit plus spécifiquement sur la forêt d’Amazonie, dont notamment le roman Enfance d'un chaman ou le podcastLe cercle sauvage. Elle organise aussi des expositions à l’Alliance française de Quito pour permettre aux citadins de se sensibiliser à l’importance des forêts premières.
Elle écrit aussi des romans jeunesse, des scénarios de bande dessinée et travaille pour France Culture à l’écriture de fictions et de journaux de voyage sonores qui racontent ses voyages en Amérique du sud et ailleurs.