« Nîmois d'adoption » (il fait ses études secondaires au lycée de garçons[4]), il crée la chaire d'histoire du Languedoc à la Faculté des lettres de Montpellier[1], où il est chargé de cours (1931), maître de conférences (1942) puis professeur (1946)[5]. En 1951, il succède à Augustin Fliche dans la chaire d'histoire et d'archéologie médiévale[4]. Il prend sa retraite en 1967[5].
Spécialiste de la vie urbaine médiévale en Languedoc, il consacre aussi un portrait « de belle facture » à Jean-Paul Rabaut-Saint-Étienne[1].
Élu à l'Académie de Nîmes en 1945[6], il la préside en 1953. Il préside aussi[Quand ?] la Fédération historique du Languedoc méditerranéen et du Roussillon[4].
Il meurt en , et est inhumé dans son village natal[4].
Publications
Les Cités de la Narbonnaise Première depuis les invasions germaniques jusqu'à l'apparition du Consulat, Nîmes, Chastanier Frères, 1942 (BNF37392048).