Les peintures de ses débuts, telles que L'incrédulité de saint Thomas, Vierge à l'Enfant et la Pentecôte montrent l'influence du Titien[3], et sont quelquefois des copies d'œuvres du maître.
En 1614 il emménage à Venise, mais il voyage aussi à Rome à deux reprises (vers le milieu de l'an 1610 et en 1625), où il est souvent employé dans la production de copies de grands tableaux des grands artistes de la Renaissance.
Il peint une toile d'une grande bataille La victoire des Carnutes (Celtes) sur les Normands[4].
↑ a et bMartin Eidelberg, « Varotari, Alessandro », dans Watteau et la fête galante: Musée des beaux-arts de Valenciennes, 5 mars-14 juin 2004, Réunion des musées nationaux, , 279 p.
↑Travestissement féminin et liberté(s) De Guyonne Leduc, Christine Bard, p. 307.Bartolommeo Scaligero
↑Charles Blanc, École vénitienne, Vve. Jules Renouard, Librairie-Editeur, (lire en ligne), « Alessandro Varotari », p. 1-8