Inal commence sa carrière professionnelle en tant qu'instituteur dans sa région natale. Plus tard, il poursuit des études d'histoire à la Sorbonne à Paris, où il devient le responsable des étudiants communistes d'Algérie. C'est là qu'il contribue à la fondation de l’Union générale des étudiants musulmans algériens (UGEMA) en 1955[2].
De retour en Algérie, Inal devient professeur au collège de Tlemcende Slane (actuellement nommé Ibn Khaldoun) et rejoint l'ALN ; il devient officier et secrétaire du commandement de la wilaya V (Oranie) au maquis en Algérie[3]. Alors qu'il a rejoint le maquis de la Wilaya 5, il est blessé au combat dans la bataille de Tadjmout[réf. souhaitée] avant d'être capturé par l'armée française. Il est torturé puis tué par les militaires français le . Selon Sylvie Thénault[4], qui fait également référence à Gilbert Meynier[5], il existe en fait plusieurs hypothèses concernant la mort d'Inal Ahmed : il a pu soit être effectivement brûlé vif par l'armée française, soit être éliminé par ses compagnons du fait qu'il était communiste. Il existe également une autre version sur la date de sa mort qui se situerait alors en 1957[1].
Postérité
De nombreux édifices et lieux portent le nom d'Ahmed Inal, pour honorer sa mémoire: