Lalauze est proche de l'éditeur Alfred Cadart : il produit, entre autres, douze gravures pour L'Illustration nouvelle (1868-1881)[1] et quatre gravures pour l'album L'Eau forte en… (1874-1881)[2].
Ses images tendres, souvent sur le registre du conte, et travaillées sur acier avec finesse, comme des milliers de griffures de petites aiguilles, valurent à Lalauze d'être souvent sollicité pour illustrer des romans et nouvelles, notamment pour des ouvrages de bibliophilie publiés par Damase Jouaust, et dont il exécute les nombreux frontispices.