Accord européen de Genève sur la signalisation routière
L’accord européen signé à Genève le sur la signalisation routière fait suite à la convention de Vienne signée en 1968 au niveau international sur le même sujet.
Ainsi, lorsqu'un signal est défini dans la convention, les signataires de cet accord européen s'interdisent d'en créer un autre ayant la même signification. Les signataires peuvent créer un nouveau signal répondant à un besoin particulier de leur pays, sous réserve qu'il ne soit pas déjà prévu dans la convention avec une autre signification.
À son entrée en vigueur, l’accord abroge et remplace les dispositions concernant le protocole relatif à la signalisation routière contenues dans l’Accord européen complétant la Convention sur la circulation routière et le Protocole de 1949 sur la signalisation routière, signé à Genève le , l’Accord relatif à la signalisation des chantiers, signé à Genève le , et l’Accord européen relatif aux marques routières, signé à Genève le .
Type de vote : R : Ratification - A : Adhésion - S : Succession.
Les pays dont le nom est suivi d’une astérisque ont émis certaines réserves.
L’Espagne, la France et le Royaume-Uni n’ont pas signé ce protocole et ont donc leurs propres spécifications, qui ne diffèrent néanmoins que sur certains points.
Les recommandations du Conseil économique et social des Nations unies de 1997
Constatant que les dispositions de la convention de Vienne de 1968 et de l’accord européen de 1973 laissent subsister de fortes divergences entre pays, le conseil économique et social des Nations unies, commission économique pour l'Europe, émet de nouvelles recommandations sur la signalisation routière européenne en 1997.