10 octobre : concile de Paris[4] (liberté des élections épiscopales, privilèges du for ecclésiastique, inviolabilité des biens de l’Église).
18 octobre[4] : Edictum Chlotharii. Édit de Clotaire II sur l’administration publique, qui impose que tous les hauts fonctionnaires doivent être originaires du territoire administré[5]. Clotaire tente de rétablir l’ordre et l’équité dans son royaume. Cet édit, par ailleurs :
proclame la liberté des élections épiscopales ; le roi se réserve après l'élection d'ordonner ou non au métropolitain de procéder à l'ordination du nouvel évêque[6].
précise qu’en l’absence du roi, l’évêque peut condamner un juge coupable.
intervient contre les abus des comtes qui cherchent à établir de nouveaux tonlieux à leur profit[7].
défend aux Juifs d’exercer des fonctions publiques[8].
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Notes et références
↑Vladislav Popovic, La descente des Koutrigours, des Slaves et des Avars vers la mer Égée : le témoignage de l'archéologie, Comptes-rendus des séances de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, Volume 12, pp. 596-648, (lire en ligne)
↑ a et bEduard von Muralt, Essai de chronographie byzantine : Pour servir à l'examen des annales du bas-empire et particulièrement des chronographes slavons de 395 à 1057, St. Petersbourg, Eggers, (lire en ligne)
↑ a et bCollectif dir. Jean Gaudemet, Les élections dans l'Église latine des origines au XVIe siècle, Paris, Fernand Lanore, (lire en ligne)
↑Jean Heuclin, Hommes de Dieu et fonctionnaires du roi : en Gaule du Nord du Ve au IXe siècle, Villeneuve-d'Ascq, Presses universitaires du Septentrion, , 404 p. (ISBN2-85939-551-2, lire en ligne)
↑Émile Grimaud, Société des bibliophiles bretons et de l'histoire de Bretagne, Revue de Bretagne, de Vendée & d'Anjou, Partie 2, Nantes, J. Forest aîné,
↑Seiichi Iwao et Teizō Iyanaga, Dictionnaire historique du Japon, Volume I, Maisonneuve & Larose, , 2993 p. (ISBN978-2-7068-1575-1, lire en ligne)