Juin-octobre : lors d'une épidémie de peste bubonique, à Londres, « on estime que la ville et sa banlieue perdent entre un tiers et un quart de leurs quatre-vingt mille habitants[1] ».
Juan de Cárdenas(es) (mort en 1609), médecin et scientifique espagnol, établi à Guadalajara, au Mexique, à partir de , auteur en de l'ouvrage intitulé Primera parte de los problemas y secretos maravillosos de las Indias (« Les Merveilleux Problèmes et Secrets des Indes, première partie[10] »).
↑« The city and its outlying parishes lost an estimated one-quarter to one-third of their estimated population of 80.000 persons. »(en) George Childs Kohn (dir.), Encyclopedia of Plague and Pestilence : From Ancient Times to the Present, New York, Facts On File, Inc., , 3e éd. (1re éd. 1995), 545 p. (ISBN978-0-8160-6935-4, lire en ligne), « London Plague of 1563 », p. 228-229.
↑(pt) Garcia de Orta, Coloquios dos simples, e drogas he cousas mediçinais da India, e assi dalgumas frutas achadas nella, onde se tratam algumas cousas tocantes a mediçina pratica, e outras cousas boas pera saber compostos pello doutor Garcia d'Orta, físico del rey nosso senhor, vistos pello muyto reverendo senhor, ho liçençiado Aleixo Dias Falcam, desenbargador da Casa da Supricaçam, inquisidor nestas partes, impresso em Goa, por Ioannes de Endem, as x. dias de abril de 1563. annos.
↑Gabriel Gachelin, « Garcia de Orta (1499 ou 1501-1568) », dans Encyclopaedia Universalis [en ligne], s.l.n.d. (lire en ligne).
↑Micheline Ruel-Kellermann, Bartolomeo Eustache (c. 1510-1574), Libellus de dentibus (1563) (Petit livre sur les dents), Introduction, Paris, université Paris-Descartes, coll. « Éditions, transcriptions et traductions », (lire en ligne).
↑Thibaut Maus de Rolley, « La Part du diable : Jean Wier et la Fabrique de l’illusion diabolique », Tracés : Revue de sciences humaines, vol. 8, , p. 29-46 (lire en ligne).
↑(de) Johann Christian Poggendorff, Biographisch-literarisches Handwörterbuch für Mathematik, Astronomie, Physik, Chemie und verwandte Wissenschaftsgebiete, vol. 2 : M-Z, Leipzig, Johann Ambrosius Barth, (lire en ligne).
↑Jacques Gélis, « Louise Bourgeois (1563-1636) : Une sage-femme entre deux mondes », Histoire des sciences médicales, vol. 43, no 1, , p. 28 (lire en ligne).
↑Joseph-François Malgaigne, « Fragments de l'histoire de la chirurgie au XVIIe siècle. Louise Bourgeois », Revue médico-chirurgicale de Paris, vol. 3, , p. 313-318 et 375-378 (lire en ligne).
↑Georges Allard et al., Histoire générale des sciences, t. 2 : La Science moderne, vol. 2 : De 1450 à 1800, Paris, Presses universitaires de France, , 800 p., p. 710.
↑Nicolas Éloy, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne, t. 3, Mons, H. Hoyois, (lire en ligne), « Lepois (Charles) », p. 62-64.
↑Charles Melman (préf. Denise Sainte Fare Garnot), Nouvelles études sur l'hystérie (transcription du séminaire tenu en 1993-1994 à Paris, hôpital de la Salpêtrière), Paris, Érès, (ISBN978-2-7492-1718-5, lire en ligne), Séminaire 2 : « Historique de l'entité hystérique », p. 32.
↑(it) Stefania Fortuna, « Trincavelli, Vittore », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 96, Istituto Treccani, (lire en ligne).
↑Régis Olry, « En quoi la circulation pulmonaire peut-elle bien concerner l'Inquisition ? », Anecdotes anatomiques, Département d'anatomie, Université du Québec à Trois-Rivières, s. d. [lire en ligne (page consultée le 21 décembre 2020)].