Premiers vers (1858-1866) : La Mort [fragment d'une imitation des Petites Vieilles de Baudelaire], Crépitus, Imité de Catulle, Imité de Cicéron, Aspiration, Fadaises, Les Dieux, Charles le fou (fragman), Des Morts, À Don Quichotte, Un soir d'octobre, Torquato Tasso, L'Apollon de Pont-Audemer, Vers dorés.
Zèv nan kolaborasyon (1867-1869) : Qui veut des merveilles ?, revue de l'année 1867, avèk François Coppée (pibliye nan Le Hanneton dirije pa Eugène Vermersch, 7e année, n° 1, 2 janvye 1868) ; Vaucochard et Fils Ie, opéra-bouffe an youn zak (fragments), nan kolaborasyon avèk Lucien Viotti, mizik Emmanuel Chabrier (anviwon 1869).
Poèmes contemporains des Poèmes saturniens et des Fêtes galantes (1866-1869) : « D'ailleurs en ce temps léthargique » (quatrain)[4], L'Enterrement, Chanson du pal (fragments), La Machine à coudre et le cerf-volant (1868), L'Ami de la nature (1868), poème sur l'air de La Femme à barbe (1868), Sur le calvaire, Le Monstre, Au pas de charge, Étant né très naïf (1869).
Appendice à La Bonne Chanson (1869-1870) : Vieilles « bonnes chansons » : Vœu final, L'Écolière, À propos d'un mot naïf d'elle.
Kontribisyon nan L'Album zutique (vè 1871-1872) : À Madame ***, Sur un poète moderne, Vieux Coppées (« Souvenir d'une enfance … » ; « Le sous-chef est absent … » ; « Bien souvent dédaigneux … »), Bouillons-Duval, « Offrant à Jésus-Christ… »
Powèm kontanporen La Bonne Chanson ak Romances sans paroles (1870-1873) : Les Renards (1870), Retour de Naples (1871)[5], Après les massacres de 1871 (1871 ?), Le Bon Disciple (me 1872), « Vive notre grand Monarquô » (katren, 18 me 1873).
Reliquat de Cellulairement et poèmes contemporains de Sagesse (1873-1878) : ΙΗΣΟΥΣ ΧΡΙΣΤΟΣ ΘΕΟΥ ΥΙΟΣ ΣΩΤΗΡ (1873), Faut hurler avec les loups ! (ti chante ekri anba non Pablo de Herlañes, chante pa Edmond Lepelletier au théâtre des Folies-Hainaut) ; « Les écrevisses ont mangé mon cœur » (Vieux Coppées, ete 1873) ; Sur Jules Claretie (1874) ; « Dites, n'avez-vous pas », « Pour charmer tes ennuis », « Endiguons les ruisseaux » (Vieux Coppées, 1874) ; Autres Vieux Coppées : « Épris d'absinthe pure » (24 août 1875), « La sale bête ! » (ivè 1875-1876), « C'est pas injuss' de s'voir » (1876), « Je renonce à Satan », « N. DE D. ! J'ai rien voyagé » (fin 1876), « Ah merde alors, j'aim' mieux » (1877) ; Sur Rimbaud(Lonn, 1876 ?), La Tentation de Saint-Antoine (1878).
Poèmes contemporains de Parallèlement (1889) : En 17… (15 janvye 1889), Écrit entre Chambéry et Aix (1889), « Ça, c'est un richard qu'on emporte » (katren), « On m'a massé comme un jeune homme » (quatrain), Sur Raoul Ponchon (1889), Écrit en marge de « Wilhelm Meister » (21 novanm 1889).
Poèmes divers (1890-1896) : Éventail Directoire, « Vos yeux sont deux flambeaux » (jiyè 1890), À Eugène Carrière (7 novanm 1890), Dédicace manuscrite à Vanier (1891), À Mademoiselle Sarah, Rotterdam (novanm 1892), Le Rouge, À Madame ***, « Plus d'infirmière », « J'fus un bel enfant bleu », Je suis un poète entre deux, Triolets (1893 ?), Le Charme du Vendredi Saint : « La Cathédrale est grise admirablement » (Pari, 30 mas 1893) et « Le soleil fou de mars » (31 mas 1893), Voyages (1e me 1893), Impression de printemps (1e me 1893), Demi-teintes (jen 1893), Ex Imo (8 out 1893, hôpital Broussais), À Ph…, À ma femme (26 out 1893, Broussais), Cordialités : « Dans ce Paris] où l'on est voisin et si loin », « Deux colibris parisiens, deux cancaniers », Pour une fête, Pour les gens enterrés au Panthéon, « La Croix sans or du Panthéon » (1893), À Monsieur et Madame Tarlé (7 septanm 1893, Broussais), Contre la jalousie (7 septanm 1893, Broussais) : « La jalousie est multiforme », « D'ailleurs, la jalousie est bête », « Bah ! confiance ou jalousie ! », « Et pourquoi cet amour dont plus d'un sot s'étonne », Craintes (septanm 1893, Broussais), Visites (oktòb 1893), Retraite (oktòb 1893), Paris, À Mademoiselle Marthe (5 novanm 1893, Broussais), Conquistador (Lonn, novanm 1893), Souvenir du 19 novembre 1893 (Dieppe-Newhaven), Paul Verlaine's Lecture at Barnad's Inn (Lonn, 21 novanm 1893), Oxford (novanm 1893), Traversée (Douvres-Calais, desanm 1893), In the refreshment room (novanm ou desanm 1893 ?), Bergerades, Morale, Hôpital, Lamento, Toast (30 janvye 1894), Féroce (10 fevriye 1894), Tristia, Meloria, Optima, Pâques, Assomption, Prière, À Fernand Crance (7 septanm 1894), Pour une affiche du salon des « Cent » (20 septanm 1894), À Madame Marie M… (1e novanm 1894), Écrit sur un lvre de notes intimes (7 desanm 1894, hôpital Bichat), Quand même (27 desanm 1894, Bichat), Pour le Nouvel An, Acte de foi, À Célimène (11 fevriye 1895), Pour E… (« Ô la femme éternellement »), Pour E… (« J'aime ton sourire »), Pour E… (« Quelle colère injuste et folle »), À Eugénie : « Ô toi, seule bonne entre toutes ces femmes », « Mais il te faut m'être si douce », Épilogue en manière d'adieux à la poésie « personnelle » (mas 1895), Ægri Somnia (16 mas 1895), Anniversaire (30 mas 1895}}), Conseil (4 me 1895), Début d'un récit diabolique (me 1895 ?), Souvenirs d'hôpital : « La vie est si sotte vraiment », « D'ailleurs, l'hôpital est sain », Intermittences, Sites urbains, Clochi-clocha, En septembre (septanm 1895}}), Reçu (Mardi gras 1895), Distiques : « Bloy, Tailhade et Jean Moréas », « Ces faux chauves qui sont les plus beaux trios », « Richepin, Péladan et Catulle Mendès », Qui est beau, Impromptu, Monna Rosa, Mort ! (desanm 1895) ; Vive le Roy ! (29 oktòb 1895) ; poèmes d'Arthur Symons tradui pa Verlaine : Prélude aux « London Nights », Aux Ambassadeurs, Prière à saint Antoine de Padoue, Dans la vallée de Llangollen.
↑Publié en épigraphe à la nouvelle Claire Lenoir de Villiers de l'Isle-Adam, parue dans la Revue des Lettres et des Arts 13 oktob 1867.
↑Sonnet signé « J.-M. de Heredia » car composé à la manière de José-Maria de Heredia. Cf. lettre de l'auteur à Émile Blémont le 13 juillet 1871 dans lequel le poème est inséré.
↑Notis Poèmes divers, Œuvres poétiques complètes, op. cit., p. 1329.