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Historique
La première église était romane. Elle fut agrandie à plusieurs reprises aux siècles suivants. Au début du XVIIIe siècle la paroisse reçut le legs testamentaire d'un particulier fortuné originaire de la ville : Carles Perpinyà y Folcrà. Cet héritage permit d'envisager la reconstruction entière de l'édifice. Les travaux débutèrent en 1730 et se poursuivirent par étapes jusqu'à la finalisation de la nouvelle église en 1769. Le plan est dû à l'architecte catalan Francisco Morató[1]. La construction a été dirigée par Pierre Figeac, maçon de Narbonne.
Alexandre Charrett-Dykes, « Saint-Julien-et-Sainte-Basilisse de Vinça : le chantier de construction d’une église paroissiale au XVIIIe siècle », Patrimoines du sud, no 2, (lire en ligne)
Géraldine Mallet, Églises romanes oubliées du Roussillon, Montpellier, Les Presses du Languedoc, , 334 p. (ISBN978-2-8599-8244-7)
Jean-Bernard Mathon (dir.), Guillaume Dalmau et Catherine Rogé-Bonneau, Corpus des Vierges à l'Enfant (XIIe – XVe siècle) des Pyrénées-Orientales, Presses universitaires de Perpignan, coll. « Histoire de l'art », (ISBN9782354121853, lire en ligne)
(ca) « Sant Julià i Santa Basilissa de Vinçà », dans Catalunya romànica, t. VII : La Cerdanya. El Conflent, Barcelone, Fundació Enciclopèdia Catalana, (lire en ligne)
↑Charrett-Dykes (Alexandre), « Saint-Julien et Sainte-Baselisse de Vinça : le chantier de construction d'une église paroissiale au XVIIIe siècle », Patrimoine du Sud, no 2, , p. 23-56 (lire en ligne)
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