En 1913, Maclean suggère la création d'une banque centrale qui serait privée et qui du même coup serait administrée par le gouvernement. La proposition est rejetée, mais gagne graduellement en notoriété puisqu'il la défend tout le long de sa carrière parlementaire ainsi que d'autres causes radicales dont une monnaie nationale, la régie publique des chemins de fer, de l’hydroélectricité et des réseaux téléphoniques.
Candidat à la mairie de Toronto lors de l'élection de 1902(en), il s'incline face à Oliver Aiken Howland(en). Son intention de siéger en tant que maire et député fédéral semble avoir contribué à sa défaite[3].
↑(en) The Canadian Parliament: Biographical Sketches and Photo-Engravures of the Senators and Members of the House of Commons of Canada, Montreal, The Perrault Printing Co., , 208 (lire en ligne)
↑(en) "Mr Howland Re-elected", The Globe, January 7, 1902, pages 1-2