Véronique Nahoum-Grappe s'est d'abord lancée dans des études de lettres et de philosophie. C'est grâce à deux rencontres décisives qu'elle va s'intéresser à l'anthropologie : celle de l'historien Emmanuel Le Roy Ladurie et celle de l'anthropologue Françoise Héritier[1]. Elle est chercheuse à l'EHESS, au Centre Edgar-Morin.
Parallèlement, elle a assuré une chronique quotidienne dans les Matins de France Culture de septembre 2002 à mai 2004.
En 2007, elle appelle à voter pour Ségolène Royal, dans un texte publié dans Le Nouvel Observateur, « contre une droite d’arrogance », pour « une gauche d’espérance »[2].