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Vincent Hein passe une partie de son enfance en Côte d'Ivoire, à Abidjan, où son père était cadre dans une entreprise française de travaux publics[1].
En 1988, il s'inscrit à l'École normale des langues étrangères de Pékin (Beijing Waiyu Shifan Xueyuan) pour y apprendre le chinois[2]. Il est rapatrié en France à la suite des événements du sur la place Tian'anmen[3].
Il a vécu entre 2004 et 2016 en Chine. Désormais, il vit et consulte à Marseille[4].
Édition
En 1996, il entre comme secrétaire d'édition aux Éditions Phébus, participe régulièrement à la revue internationale d'art et de littérature Passages d'Encre et crée avec Mariam Loussignian, Sébastien White et Hélène Hein la revue de critique littéraire Calamar, à laquelle participeront les écrivains Arnaud Cathrine, Arno Bertina, Richard Dalla Rosa, Mathieu Terence et Daniel Arsand[3].
Son cinquième livre, La Disparition de Jim Thompson, obtient le prix Pierre Mac Orlan 2022. Il fut par ailleurs dans la deuxième sélection du prix Femina 2021 et celle du prix Femina des lycéens 2021.
2013 : Le New York des écrivains - ouvrage collectif -, éditions Stock, Paris, 226 pages
2016 : Les Flamboyants d'Abidjan, sélectionné pour le prix Françoise-Sagan 2016, éditions Stock, Paris, collection La Bleue, 160 pages
2018 : Kwaï, sélectionné pour le prix de la Société des gens de lettres 2018, et finaliste du prix Valéry-Larbaud 2019, éditions Phébus, Paris, collection littérature française, 140 pages
2019 : Tiananmen, 1989-2019, Hommages et Récits, ouvrage collectif, éditions Phébus, Paris, collection littérature française, 180 pages
2021 : La Disparition de Jim Thompson, prix Pierre Mac Orlan 2022, deuxième sélection du prix Femina 2021, finaliste du prix Femina des lycéens 2021, éditions Arléa, Paris, collection littérature française, La Rencontre, 180 pages