Il lui donne le nom de « traou mad » qui signifie « bonnes choses » ou « choses bonnes » en breton[1],[3]. L'apparence de ces biscuits leur vaut l'appellation de « palet breton » du nom des pièces du jeu de palet sur planche[4].
Sa fille Marguerite Le Villain développe l'entreprise, automatise une partie de la procédure de fabrication et établit des représentants à Nantes et à Paris[1]. Elle crée aussi une galette fine, la galette de Pont-Aven[1].
La biscuiterie familiale est revendue en 1985 à la famille Mentheour[1]. Les boîtes de Traou Mad prennent alors le décor de tableaux du peintre Paul Gauguin, célébrité de Pont-Aven[1]. Un fonds d'investissement reprend la biscuiterie en 2006, puis l'entreprise passe dans le groupe Galapagos[1].
Recette
La recette des Traou Mad a peu varié depuis l'origine[5].
Le savoir-faire en termes de pétrissage, de temps de repos de la pâte, de température du four, se transmet sans être écrit et repose sur le ressenti[2].