Il devient directeur général du bureau de mise à niveau au ministère de l'Industrie en 1995 puis, en , directeur exécutif du programme européen pour la modernisation industrielle en Égypte[1].
Entre et , il est ministre du Tourisme. Après la révolution de 2011, il est empêché, en août de cette année, de quitter la Tunisie, alors qu'il s'apprêtait à gagner Istanbul avec son épouse[2]. Cette situation d'interdiction de voyager est rapidement levée et Slim Tlatli est depuis libre de ses mouvements[réf. nécessaire].
En 2014, il devient membre du bureau exécutif[3] et premier-vice président du comité d'orientation scientifique[4] du Cercle Kheireddine, un think tank traitant de sujets économiques, financiers et sociaux.